Daloa - Le bureau de la section locale du Syndicat national de la presse privée de Côte d’Ivoire (SYNAPP-CI) a été investi dimanche en présence du secrétaire général, Guillaume Gbato et de l’avocat et ex-maire de Daloa, Me Kossougro Séri Emile, en qualité de parrain.
Avant la cérémonie de baptême du secrétaire général de la section SYNAPP-CI, Gooré Bi Eustache et les membres de son bureau, les autorités locales,les correspondants de presses et les animateurs des radios de proximité ont été interpellés par Guillaume Gbato sur les conditions de travail jugées très pénibles des agents de la presse privée.
Face donc à ce qu’il qualifie de cycle d’esclavage nouveau pour bon nombre d`agents de médias privés, M. Gbato a souhaité que cette situation cesse. Il a notamment préconisé que les autorités et les agents eux-mêmes s’impliquent dans ce combat de la dignité humaine qui relève aussi, a-t-il dit, de la responsabilité de l’Etat, pour que les journalistes jouissent pleinement du fruit de leur travail. Car, pour l’’heure, beaucoup d’entre eux, a-t-il poursuivi, vivent de mendicité parce qu’ils travaillent et n’ont pas de salaire et ne sont pas déclarés à la CNPS.
Mais pour changer la donne, Guillaume Gbato a appelé les concernés à soutenir les actions du SYNAPP-CI, afin qu’il puisse obtenir un statut pour les travailleurs des radios de proximité, d’ici trois ans.
Quant au parrain, Me Kossougro, il a invité les journalistes et animateurs de la région du Haut-Sassandra à s’inscrire résolument sur la voie de la réconciliation nationale prônée par le Chef de l’Etat, Alassane Ouattara. ’’Soyez une presse objective qui se mette au service de la paix, sans laquelle il n’y a pas de développement’’, leur a-t-il recommandé.
Le secrétaire général1 représentant le préfet de région, a pour sa part, insisté sur la cohésion au sein de la famille des hommes des médias, afin de se faire entendre par les autorités compétentes en ce qui concerne leurs différentes préoccupations.
Avant la cérémonie de baptême du secrétaire général de la section SYNAPP-CI, Gooré Bi Eustache et les membres de son bureau, les autorités locales,les correspondants de presses et les animateurs des radios de proximité ont été interpellés par Guillaume Gbato sur les conditions de travail jugées très pénibles des agents de la presse privée.
Face donc à ce qu’il qualifie de cycle d’esclavage nouveau pour bon nombre d`agents de médias privés, M. Gbato a souhaité que cette situation cesse. Il a notamment préconisé que les autorités et les agents eux-mêmes s’impliquent dans ce combat de la dignité humaine qui relève aussi, a-t-il dit, de la responsabilité de l’Etat, pour que les journalistes jouissent pleinement du fruit de leur travail. Car, pour l’’heure, beaucoup d’entre eux, a-t-il poursuivi, vivent de mendicité parce qu’ils travaillent et n’ont pas de salaire et ne sont pas déclarés à la CNPS.
Mais pour changer la donne, Guillaume Gbato a appelé les concernés à soutenir les actions du SYNAPP-CI, afin qu’il puisse obtenir un statut pour les travailleurs des radios de proximité, d’ici trois ans.
Quant au parrain, Me Kossougro, il a invité les journalistes et animateurs de la région du Haut-Sassandra à s’inscrire résolument sur la voie de la réconciliation nationale prônée par le Chef de l’Etat, Alassane Ouattara. ’’Soyez une presse objective qui se mette au service de la paix, sans laquelle il n’y a pas de développement’’, leur a-t-il recommandé.
Le secrétaire général1 représentant le préfet de région, a pour sa part, insisté sur la cohésion au sein de la famille des hommes des médias, afin de se faire entendre par les autorités compétentes en ce qui concerne leurs différentes préoccupations.
