Qu’est-ce qui se passe chez l’économiste Koudougnon Gnazalé Narcisse et son équipe?A l’aurore de l’année 2012, une ONG dénommée Projet de Promotion de la Micro-Finance en Côte d’Ivoire (PPMCI) a vu le jour dans la cité de l’Agnéby. Quelques années plus tard, elle modifie l’appellation qu’elle s’était donnée et se fait appeler désormais, Projet de progrès de Ménage en Côte d’Ivoire et, la raison demeure non élucidée au grand dam de la population.
Basée au quartier Adahou, derrière le CHR d’Agboville, cette structure de ‘’placement d’argent’’ aux dires de la population, part d’une souscription à hauteur de 30.000 à 3.000.000 FCFA. Les souscripteurs perçoivent 10% du montant souscrit tous les 10 jours.
Contrairement au premier système qu’elle s’était fixée dont le pourcentage était perçu toutes les semaines. Les Agbovillois ne juraient ici que par la réussite parfaite de cette microfinance qui devait les amener à oublier le triste souvenir de la Tontine Popote Assurée dirigée par feu Aleké. Après quelque moment de fonctionnement, des voix s’élèvent dans l’Agneby pour dénoncer le manque de transparence. Les agents commerciaux chargés de collecter l’argent des souscripteurs sont au banc des accusés. Un des agents commerciaux aurait même été accusé de soutirer 25 000 F CFA du compte d’une cliente. La mise en cause, interrogée dit ne pas se reconnaître dans les accusations non fondées. «Je reconnais avoir reçu une carte actionnaire semblable à celle de ma cliente qui se nomme Aya des mains de Kpandji ainsi que la somme de 25 000 F que j’ai reversés dans le compte de ma cliente», s’est défendue l’agente commerciale Alice K. Les critiques les plus acerbes fusent à l’endroit du personnel et de l’initiateur du projet.
IR
Basée au quartier Adahou, derrière le CHR d’Agboville, cette structure de ‘’placement d’argent’’ aux dires de la population, part d’une souscription à hauteur de 30.000 à 3.000.000 FCFA. Les souscripteurs perçoivent 10% du montant souscrit tous les 10 jours.
Contrairement au premier système qu’elle s’était fixée dont le pourcentage était perçu toutes les semaines. Les Agbovillois ne juraient ici que par la réussite parfaite de cette microfinance qui devait les amener à oublier le triste souvenir de la Tontine Popote Assurée dirigée par feu Aleké. Après quelque moment de fonctionnement, des voix s’élèvent dans l’Agneby pour dénoncer le manque de transparence. Les agents commerciaux chargés de collecter l’argent des souscripteurs sont au banc des accusés. Un des agents commerciaux aurait même été accusé de soutirer 25 000 F CFA du compte d’une cliente. La mise en cause, interrogée dit ne pas se reconnaître dans les accusations non fondées. «Je reconnais avoir reçu une carte actionnaire semblable à celle de ma cliente qui se nomme Aya des mains de Kpandji ainsi que la somme de 25 000 F que j’ai reversés dans le compte de ma cliente», s’est défendue l’agente commerciale Alice K. Les critiques les plus acerbes fusent à l’endroit du personnel et de l’initiateur du projet.
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