Le Comité sectoriel de lutte contre le Sida du Ministère de l’Economie et des Finances a procédé le jeudi 19 juillet 2012, au siège dudit ministère au lancement de la «Campagne Petite Monnaie» pour sensibiliser toutes les couches sociales afin de mobiliser des ressources pour le financement de lutte contre le Sida en Côte d’Ivoire. C’était en présence du ministre de la Santé et de la lutte contre le Sida et les autorités administratives.
Ouvrant la cérémonie marquant le lancement du projet dénommé «campagne petite monnaie» en abrégé (CPM), le professeur Thérèse N’Dri Yoman, ministre de la Santé et de la Lutte contre le SIDA a sollicité l’implication de tous dans la mobilisation des ressources additionnelles. Pour elle, ce projet sollicite la participation des populations au financement de la lutte contre le Sida, un fléau qui demeure un frein au développement. Pour sa part, Emmanuel Ahoutou Koffi, Directeur de cabinet du ministre de l’Economie et des Finances a fait savoir que la CPM constitue un enjeu important pour la Côte d’Ivoire, dans la recherche de moyens propres. Toute chose qui, selon lui, permet d’engager une action décisive, efficace dans la lutte contre la prolifération du VIH/SIDA. A en croire Emmanuel Ahoutou Koffi, les efforts déployés par le comité sectoriel visant à mobiliser des financements tant intérieurs qu’extérieurs pour contribuer à faire reculer le VIH/SIDA, à travers cette initiative est salutaire. «La lutte contre le VIH/SIDA nécessite des moyens financiers de plus en plus importants, notamment en raison de la propagation fulgurante de ce fléau, entraînant un nombre croissant de populations affectées», a-t-il indiqué. Selon lui, ce besoin en ressources est accentué par la crise économique et financière internationale, qui a pour conséquence une réduction sensible des appuis financiers extérieurs. C’est pourquoi, face à cette situation, il importe que l’ensemble des Ivoiriens, aussi bien ceux vivant en Côte d’Ivoire qu’à l’étranger, prennent le relais, en contribuant tous, afin de mobiliser des ressources financières additionnelles. L’orateur a souhaité que son département soit symbolisé par quatre vecteurs clés : à savoir, l’engagement, la solidarité, l’action et la générosité au regard de l’importance de cette campagne. «Il faut maintenir un engagement solidaire, en agissant avec générosité. Ce n’est qu’au prix de ces efforts que nous parviendrons, à terme, à éradiquer le VIH/SIDA», a-t-il recommandé. Le comité d’organisation demande l’engagement de toutes les populations vivant en Côte d’Ivoire en leur demandant d’acheter chacun un des 6 formats de timbres mis en vente auprès de toutes les catégories socioprofessionnelles.
Armand K
Ouvrant la cérémonie marquant le lancement du projet dénommé «campagne petite monnaie» en abrégé (CPM), le professeur Thérèse N’Dri Yoman, ministre de la Santé et de la Lutte contre le SIDA a sollicité l’implication de tous dans la mobilisation des ressources additionnelles. Pour elle, ce projet sollicite la participation des populations au financement de la lutte contre le Sida, un fléau qui demeure un frein au développement. Pour sa part, Emmanuel Ahoutou Koffi, Directeur de cabinet du ministre de l’Economie et des Finances a fait savoir que la CPM constitue un enjeu important pour la Côte d’Ivoire, dans la recherche de moyens propres. Toute chose qui, selon lui, permet d’engager une action décisive, efficace dans la lutte contre la prolifération du VIH/SIDA. A en croire Emmanuel Ahoutou Koffi, les efforts déployés par le comité sectoriel visant à mobiliser des financements tant intérieurs qu’extérieurs pour contribuer à faire reculer le VIH/SIDA, à travers cette initiative est salutaire. «La lutte contre le VIH/SIDA nécessite des moyens financiers de plus en plus importants, notamment en raison de la propagation fulgurante de ce fléau, entraînant un nombre croissant de populations affectées», a-t-il indiqué. Selon lui, ce besoin en ressources est accentué par la crise économique et financière internationale, qui a pour conséquence une réduction sensible des appuis financiers extérieurs. C’est pourquoi, face à cette situation, il importe que l’ensemble des Ivoiriens, aussi bien ceux vivant en Côte d’Ivoire qu’à l’étranger, prennent le relais, en contribuant tous, afin de mobiliser des ressources financières additionnelles. L’orateur a souhaité que son département soit symbolisé par quatre vecteurs clés : à savoir, l’engagement, la solidarité, l’action et la générosité au regard de l’importance de cette campagne. «Il faut maintenir un engagement solidaire, en agissant avec générosité. Ce n’est qu’au prix de ces efforts que nous parviendrons, à terme, à éradiquer le VIH/SIDA», a-t-il recommandé. Le comité d’organisation demande l’engagement de toutes les populations vivant en Côte d’Ivoire en leur demandant d’acheter chacun un des 6 formats de timbres mis en vente auprès de toutes les catégories socioprofessionnelles.
Armand K