M. Bamba Karim, Président du comité de gestion (PCG) de la Mutuelle générale des fonctionnaires de Côte d’Ivoire (Mugefci), a tenu le vendredi 20 juillet 2012, un point de presse au siège de la mutuelle sis au Plateau. A cette occasion, des mesures importantes pour soulager les mutualistes et les partenaires médicaux ont été annoncées.
Rappelant d’abord le contexte, M. Bamba Karim a indiqué que le comité qu’il dirige a été installé par décret N° 2012-307 du 11 avril 2012 après suspension des organes dirigeants. La mission exigée par le ministre de l’Emploi, des Affaires Sociales et de la Solidarité consiste à : gérer les affaires courantes ; procéder au toilettage des statuts et règlements intérieurs de la Mugefci en vue de les mettre en harmonie avec les règlements de l’Uemoa en matière de mutualité sociale ; organiser dans les mois qui suivent, une AG visant à élire un nouveau Conseil d’administration. Le PCG a souligné que depuis sa nomination, de grandes actions ont été entreprises. Il s’agit de réformes profondes dans le fonctionnement de la Mugefci afin de permettre à ses adhérents d’en être les gestionnaires et principaux bénéficiaires. Ainsi, une commission d’achat pour garantir l’acquisition des biens et services a été créée, de même que les relations conflictuelles avec l’Ordre des pharmaciens ont été aplanies. Mais le plus important, c’est que le Comité de Gestion a pris des mesures afin de lever les multiples et diverses difficultés d’accès aux prestations. Premièrement, c’est la prise de contact avec les organisations professionnelles des partenaires médicaux pour la mise en place d’un nouveau cadre de partenariat apaisé. Deuxièmement, la levée des quotas imposés aux pharmacies et centres d’optiques à partir du 1er août 2012. Troisièmement, l’élargissement du réseau des prestataires médicaux afin de rapprocher la mutuelle de ses adhérents sur toute l’étendue du territoire national. Quatrièmement, l’amélioration du système informatique de la Mugefci afin de le rendre moins lourd et plus performant. Cinquièmement, la suppression des différentes conditions financières exigées pour faire partie du réseau de la Mugefci. Pour finir, M. Bamba Karim a invité tous les partenaires et les mutualistes à se détourner des pratiques frauduleuses qui risquent de mettre en péril la survie de la mutuelle.
Olivier Guédé
Rappelant d’abord le contexte, M. Bamba Karim a indiqué que le comité qu’il dirige a été installé par décret N° 2012-307 du 11 avril 2012 après suspension des organes dirigeants. La mission exigée par le ministre de l’Emploi, des Affaires Sociales et de la Solidarité consiste à : gérer les affaires courantes ; procéder au toilettage des statuts et règlements intérieurs de la Mugefci en vue de les mettre en harmonie avec les règlements de l’Uemoa en matière de mutualité sociale ; organiser dans les mois qui suivent, une AG visant à élire un nouveau Conseil d’administration. Le PCG a souligné que depuis sa nomination, de grandes actions ont été entreprises. Il s’agit de réformes profondes dans le fonctionnement de la Mugefci afin de permettre à ses adhérents d’en être les gestionnaires et principaux bénéficiaires. Ainsi, une commission d’achat pour garantir l’acquisition des biens et services a été créée, de même que les relations conflictuelles avec l’Ordre des pharmaciens ont été aplanies. Mais le plus important, c’est que le Comité de Gestion a pris des mesures afin de lever les multiples et diverses difficultés d’accès aux prestations. Premièrement, c’est la prise de contact avec les organisations professionnelles des partenaires médicaux pour la mise en place d’un nouveau cadre de partenariat apaisé. Deuxièmement, la levée des quotas imposés aux pharmacies et centres d’optiques à partir du 1er août 2012. Troisièmement, l’élargissement du réseau des prestataires médicaux afin de rapprocher la mutuelle de ses adhérents sur toute l’étendue du territoire national. Quatrièmement, l’amélioration du système informatique de la Mugefci afin de le rendre moins lourd et plus performant. Cinquièmement, la suppression des différentes conditions financières exigées pour faire partie du réseau de la Mugefci. Pour finir, M. Bamba Karim a invité tous les partenaires et les mutualistes à se détourner des pratiques frauduleuses qui risquent de mettre en péril la survie de la mutuelle.
Olivier Guédé
