Vincent Gray, maire de Washington, la capitale des Etats-Unis d’Amérique qui accueille la 19ème Conférence internationale sur le sida, a révélé, dimanche dernier, à la cérémonie d’ouverture de cette conférence, que « les investissements dans le sida ont permis de ramener à zéro le nombre d`enfants nés séropositifs depuis 2009.» Une déclaration qui va dans le sens de la nouvelle stratégie scientifique « Towards an Hiv Cure » (comprendre : « vers la guérison du Vih ») présentée à la veille de l’ouverture par Françoise Barré Sinoussi, prix Nobel de médecine. En effet, Elie Katabira et Diane havlir, les deux co-présidents de l`évènement, ont insisté sur la nécessité de poursuivre les investissements dans la recherche et dans les programmes au moment où il est démontré que le monde dispose de moyens thérapeutiques pour prévenir l`infection et envisager de venir à bout du fléau.
Dans un plaidoyer fort émouvant, Michel Sidibé, directeur de Onusida, a rappelé les efforts faits qui aboutissent à une inflexion de la maladie dans le monde. Il aussi insisté sur le fait qu’il faut poursuivre les efforts de prévention et de traitement. « Le traitement doit de plus en plus être vu comme une composante importante de la prévention », a-t-il soutenu.
Dans la même veine, la congresswoman Barbara Lee a fait un long plaidoyer sur le maintien des efforts pour aller vers la fin de l`épidémie.
Cette conférence se donne pour objectif d`amorcer les efforts pour le déclin de l`épidémie en mêlant les efforts de prévention et de traitement ensemble.
Le directeur de la Banque mondiale a engagé son organisation à travailler pour réduire le sida et la pauvreté dans le monde.
Jusqu’à vendredi (27 juillet) prochain, date de la clôture de la conférence, plusieurs délégués exposeront des travaux de recherche et des expériences programmatiques novatrices qui entrent en droite ligne de cet objectif noble et ambitieux.
C’est Mme Kathleen Sebelius, secrétaire à la Santé et aux Services humains des Usa, qui a ouvert la conférence en l’absence du président Obama dont plusieurs organisations ont dénoncé la non-présence à la cérémonie d’ouverture.
Après 22 ans, c`est le retour de cet évènement sur le sol américain suite à la levée par l`administration Obama de la suspension des voyages pour les personnes porteuses du virus du Vih sur le territoire des USA.
21000 délégués de 195 pays se réunissent pour amorcer la course vers la fin de l`épidémie, selon les organisateurs (IAS : International AIDS Society).
Coulibaly Zié Oumar
Dans un plaidoyer fort émouvant, Michel Sidibé, directeur de Onusida, a rappelé les efforts faits qui aboutissent à une inflexion de la maladie dans le monde. Il aussi insisté sur le fait qu’il faut poursuivre les efforts de prévention et de traitement. « Le traitement doit de plus en plus être vu comme une composante importante de la prévention », a-t-il soutenu.
Dans la même veine, la congresswoman Barbara Lee a fait un long plaidoyer sur le maintien des efforts pour aller vers la fin de l`épidémie.
Cette conférence se donne pour objectif d`amorcer les efforts pour le déclin de l`épidémie en mêlant les efforts de prévention et de traitement ensemble.
Le directeur de la Banque mondiale a engagé son organisation à travailler pour réduire le sida et la pauvreté dans le monde.
Jusqu’à vendredi (27 juillet) prochain, date de la clôture de la conférence, plusieurs délégués exposeront des travaux de recherche et des expériences programmatiques novatrices qui entrent en droite ligne de cet objectif noble et ambitieux.
C’est Mme Kathleen Sebelius, secrétaire à la Santé et aux Services humains des Usa, qui a ouvert la conférence en l’absence du président Obama dont plusieurs organisations ont dénoncé la non-présence à la cérémonie d’ouverture.
Après 22 ans, c`est le retour de cet évènement sur le sol américain suite à la levée par l`administration Obama de la suspension des voyages pour les personnes porteuses du virus du Vih sur le territoire des USA.
21000 délégués de 195 pays se réunissent pour amorcer la course vers la fin de l`épidémie, selon les organisateurs (IAS : International AIDS Society).
Coulibaly Zié Oumar
