Ouverte le lundi 16 juillet 2012, la 34ème session des Comités consultatifs interafricains (CCI) du Conseil africain et malgache pour l’enseignement supérieur (Cames) a pris fin le mardi 24 juillet 2012 à l’amphithéâtre du complexe CRRAE au Plateau, en présence du ministre de l’Enseignement Supérieur, M. Cissé Ibrahima Bacongo.
Le ministre Cissé Bacongo a indiqué que pour permettre au CAMES de parvenir à ses objectifs fondamentaux, la Côte d’Ivoire, à l’instar des autres pays membres, a toujours apporté sa pierre à la construction de l’édifice commun, notamment, en s’acquittant régulièrement de sa contribution et en accueillant les programmes statutaires. « On peut donc affirmer, à juste titre, que le CAMES, avant d’être une institution académique, est d’abord et, par définition, l’affaire des Chefs d’Etat eux-mêmes. En d’autres termes, le CAMES est une institution hautement politique (…) qui définit la politique des Etats-membres dans le domaine de l’enseignement supérieur et de la recherche scientifique », a souligné le ministre. Le Professeur Bertrand M’Batchi, SG du Cames a affirmé que le travail abattu en 10 jours a permis non seulement de qualifier une nouvelle vague de l’élite africaine, mais de renforcer la pertinence et l’action de cette institution âgée de 44 ans. Il a donné le bilan des CCI. Ainsi, sur 923 dossiers annoncés pour le concours d’agrégation du Cames, 920 ont été analysés et 747 ont fait l’objet d’une inscription sur les différentes listes d’aptitude, tous grades confondus, soit un taux de réussite de 81,19%. Taux toutefois faible que celui de l’année dernière (85,57%). C’est pourquoi, il a invité les responsables d’établissements du supérieur à faire preuve de responsabilité, en instaurant dans leurs universités ou centres de recherche des commissions. Au terme de cette session, le ministre Cissé Ibrahima Bacongo, a reçu sa distinction de l’Ordre de Grand Croix du Cames délivrée il y a quelques semaines à Ouagadougou (Burkina Faso).
Olivier Guédé
Le ministre Cissé Bacongo a indiqué que pour permettre au CAMES de parvenir à ses objectifs fondamentaux, la Côte d’Ivoire, à l’instar des autres pays membres, a toujours apporté sa pierre à la construction de l’édifice commun, notamment, en s’acquittant régulièrement de sa contribution et en accueillant les programmes statutaires. « On peut donc affirmer, à juste titre, que le CAMES, avant d’être une institution académique, est d’abord et, par définition, l’affaire des Chefs d’Etat eux-mêmes. En d’autres termes, le CAMES est une institution hautement politique (…) qui définit la politique des Etats-membres dans le domaine de l’enseignement supérieur et de la recherche scientifique », a souligné le ministre. Le Professeur Bertrand M’Batchi, SG du Cames a affirmé que le travail abattu en 10 jours a permis non seulement de qualifier une nouvelle vague de l’élite africaine, mais de renforcer la pertinence et l’action de cette institution âgée de 44 ans. Il a donné le bilan des CCI. Ainsi, sur 923 dossiers annoncés pour le concours d’agrégation du Cames, 920 ont été analysés et 747 ont fait l’objet d’une inscription sur les différentes listes d’aptitude, tous grades confondus, soit un taux de réussite de 81,19%. Taux toutefois faible que celui de l’année dernière (85,57%). C’est pourquoi, il a invité les responsables d’établissements du supérieur à faire preuve de responsabilité, en instaurant dans leurs universités ou centres de recherche des commissions. Au terme de cette session, le ministre Cissé Ibrahima Bacongo, a reçu sa distinction de l’Ordre de Grand Croix du Cames délivrée il y a quelques semaines à Ouagadougou (Burkina Faso).
Olivier Guédé