La crise ivoirienne semble une année derrière nous. Mais à l’heure où les affrontements sur les ondes et sur le terrain semblent avoir fait place à un processus de réconciliation et à des procédures judiciaires, les invectives renaissent, cette fois sur le terrain virtuel des médias sociaux, notamment le réseau social Twitter. Le site de micro blogging est le lieu privilégié ou partisans de l’ancien président Laurent Gbagbo et ceux d’Alassane s’affrontent par tweets interposés.
La Côte d’Ivoire est l’un des pays de la sous-région ouest-africaine ayant pris une avance remarquable en matière d’utilisation d’internet et actuellement de médias sociaux réseau sociaux. Le réseau social Twitter a particulièrement servi à merveille à informer autour de l’élection présidentielle de 2010 qui avait débouché sur un bras de fer et une crise politiques.
A l’évidence la réconciliation entre ivoiriens semble relever des travaux d’Hercule. Beaucoup ne sont pas encore prêt à faire ce pas nécessaire pour que le pays retrouve la paix. En témoignent ces derniers jours les attaques armées qui crée une psychose au sein de la population. Et pendant que des assaillants s’illustrent dans ces actes, que le pouvoir pointe du doigt les pro-Gbagbo dans certaines attaques, une autre guerre se mène, cette fois virtuellement, sur le net et par prédilection le réseau social Twitter. Pour bon nombre d’ivoiriens, qui ont investi le net, c’est un espace idéal pour en découdre.
Fait marquant ces derniers temps, de nombreux officiels ivoiriens, membres du gouvernement, parlementaires et autres ont investi les médias sociaux d’une présence active. Toute chose qui n’est pas sans déranger certains observateurs. Même si « Mes Tweets n’engagent que moi », souvent la frontière est si tenue entre les opinions personnelles et celles officielles. C’est ainsi qu’un groupe s’en prend par exemple au président de l’assemblée nationale Guillaume Soro, très actif sur les réseaux sociaux.
Ainsi, à la faveur de cette émergence des médias sociaux, des groupes s’affrontent sur le réseau Twitter, s’envoyant souvent des invectives qui rappellent les débats sur les antennes et télé auxquels les protagonistes de la crise de 2010 nous avaient habitués.
Sur des fils de discussions qui contient le tag #civ2010 et en suivant certains Twittos très actifs dont on peut se rendre facilement compte de l’appartenance à l’un ou l’autre camp, on mesure combien le débat est houleux, allant de la détention de l’ancien président à la Haye, et de façon générale sur la justice. Mais surtout, ces derniers jours, sur la situation d’insécurité créée par les récurrentes attaques ont ravivé la tension sur la twittosphère ivoirienne, avec des accusations qui viennent de toutes part sur le réseau social, des invectives qui s’envoient le long du fil de discussion #civ2010.
Tant mieux si tout cela est la jouissance d’une liberté d’expression, sinon, la « twittosphère ivoirienne » semble passer pour le nouveau terrain d’affrontement entre protagonistes d’une crise qui n’a que trop duré.
La Côte d’Ivoire est l’un des pays de la sous-région ouest-africaine ayant pris une avance remarquable en matière d’utilisation d’internet et actuellement de médias sociaux réseau sociaux. Le réseau social Twitter a particulièrement servi à merveille à informer autour de l’élection présidentielle de 2010 qui avait débouché sur un bras de fer et une crise politiques.
A l’évidence la réconciliation entre ivoiriens semble relever des travaux d’Hercule. Beaucoup ne sont pas encore prêt à faire ce pas nécessaire pour que le pays retrouve la paix. En témoignent ces derniers jours les attaques armées qui crée une psychose au sein de la population. Et pendant que des assaillants s’illustrent dans ces actes, que le pouvoir pointe du doigt les pro-Gbagbo dans certaines attaques, une autre guerre se mène, cette fois virtuellement, sur le net et par prédilection le réseau social Twitter. Pour bon nombre d’ivoiriens, qui ont investi le net, c’est un espace idéal pour en découdre.
Fait marquant ces derniers temps, de nombreux officiels ivoiriens, membres du gouvernement, parlementaires et autres ont investi les médias sociaux d’une présence active. Toute chose qui n’est pas sans déranger certains observateurs. Même si « Mes Tweets n’engagent que moi », souvent la frontière est si tenue entre les opinions personnelles et celles officielles. C’est ainsi qu’un groupe s’en prend par exemple au président de l’assemblée nationale Guillaume Soro, très actif sur les réseaux sociaux.
Ainsi, à la faveur de cette émergence des médias sociaux, des groupes s’affrontent sur le réseau Twitter, s’envoyant souvent des invectives qui rappellent les débats sur les antennes et télé auxquels les protagonistes de la crise de 2010 nous avaient habitués.
Sur des fils de discussions qui contient le tag #civ2010 et en suivant certains Twittos très actifs dont on peut se rendre facilement compte de l’appartenance à l’un ou l’autre camp, on mesure combien le débat est houleux, allant de la détention de l’ancien président à la Haye, et de façon générale sur la justice. Mais surtout, ces derniers jours, sur la situation d’insécurité créée par les récurrentes attaques ont ravivé la tension sur la twittosphère ivoirienne, avec des accusations qui viennent de toutes part sur le réseau social, des invectives qui s’envoient le long du fil de discussion #civ2010.
Tant mieux si tout cela est la jouissance d’une liberté d’expression, sinon, la « twittosphère ivoirienne » semble passer pour le nouveau terrain d’affrontement entre protagonistes d’une crise qui n’a que trop duré.