Le ministre Patrick Achi, ministre des Infrastructures économiques
Au ministère des Infrastructures économiques, l’on est guidé par un seul slogan: «Les infrastructures précèdent le développement». C’est sur cette base que le chef de l’Etat, Alassane Ouattara, depuis la fin de la crise postélectorale, a inscrit dans ses priorités la réhabilitation des infrastructures économiques de base (routes, écoles, adduction d’eau…). A ce titre, il a donné des instructions fermes à son ministre des Infrastructures économiques, Patrick Achi qui fait mains et pieds pour ne pas décevoir les Ivoiriens. Tous les travaux ont été suivis de bout en bout par le chef de l’Etat qui s’est fait le gendarme auprès de ses ministres. Cinq mois après la formation du gouvernement Ahoussou Kouadio Jeannot, regard rétrospectif sur les grands chantiers menés par le ministre Achi.
Etat des lieux
Au lendemain de la crise postélectorale, le gouvernement a hérité d’un environnement quasiment chaotique dû à l’absence d’investissement. Les infrastructures de base étaient devenues désuètes. L’eau courante était en manque dans plusieurs quartiers d’Abidjan; les pompes villageoises étaient toutes en panne, privant ainsi les populations des zones rurales d’eau. En matière de route, Abidjan, capitale économique avait perdu son lustre d’antan. Les quartiers étaient entrecoupés ou devenus inaccessibles en raison de la présence des nids de poules. A l’intérieur du pays, la situation était dramatique. Un des exemples toujours patents, est la côtière reliant San-Pedro à Dabou. Cette voie express construite dans les années 1990 est devenue impraticable. Ceux qui s’y aventurent sont soumis à des risques de braquage ou à des accidents de circulation dus au mauvais état de la route.
Travaux d’hercule
Dès la fin de la crise postélectorale, avec le premier gouvernement piloté par Guillaume Soro, le ministre des Infrastructures économiques entre en action. Dès le 19 octobre 2011, il lance les travaux de la route du Mahou et du boulevard Latrille. Dans le même mois, le ministre s’est illustré du côté de l’Aéroport Félix Houphouët Boigny, en procédant au lancement des travaux de l’aérogare Charter. Toujours dans le domaine des infrastructures routières, sur la tutelle du ministre Patrick Achi ont démarré plusieurs chantiers dont les travaux de construction de l’échangeur du carrefour de la Riviera 2, le Pont Henri Konan Bédié. Soucieux donc de l’importance de la route dans le dispositif économique, le ministre Patrick Achi n’a jamais caché sa détermination. Prenant part, en mars 2012, à une cérémonie du PUIUR (Projet d`Urgence d`Infrastructures Urbaines), il a assuré que les axes structurants, notamment, la Côtière, la voie Yamoussoukro-Bouaké-Ferké-Ouangolo, les axes Abidjan-Adzopé-Akoupé-Abengourou-Agnibilékro-Bondoukou-Bouna, San Pedro-Soubré-Odienné, N’Douci-Tiassalé-Divo-Lakota-Gagnoa..., qui sont les plus utilisés, seront en chantier. «On a un travail à faire qui va rendre les routes circulables. Ensuite, va suivre un deuxième plan qui va être une réhabilitation lourde suivie d’un entretien qui va se faire désormais de manière régulière», dixit le ministre. Aujourd’hui, toutes ces promesses sont en voie de réalisation. L’on relève que déjà des ouvrages ont été livrés et d’autre en cours de réalisation.
Le Premier ministre Ahoussou dans le bain
Le premier ministre Ahoussou Kouadio Jeannot soutient son ministre des Infrastructures économiques dans ses efforts à réhabiliter l’existant et la réalisation de nouvelles infrastructures. Ce soutien, il l’a toujours démontré, en prenant part aux cérémonies se rapportant à l’inauguration ou au lancement de travaux de construction d’infrastructures nouvelles. C’est bien la preuve que la problématique des infrastructures économiques est une préoccupation qui doit interpeller à tous les niveaux. Le chef de l’Etat en a fait une priorité. Par exemple, en ce qui concerne l’eau, il s’y est investi personnellement, en aidant Patrick Achi à réussir sa mission. Au niveau de la zone d’Abidjan, le président Ouattara a décidé d’injecter 20 milliards de FCFA afin de juguler la question de l’eau potable dont souffrait une partie de la population abidjanaise.
Course contre la montre
C’est à pas de course que le ministre Patrick Achi s’évertue à remettre les infrastructures en l’état. Au niveau de l’eau, l’on sait aujourd’hui avec quelle allure il s’attèle à satisfaire les besoins de la population d’Abidjan. C’est un ministre déterminé qui veut non seulement combler le déficit en eau potable, mais en plus rattraper le retard du passé, en faisant des forages supplémentaires, ce qui permettra de mettre la ville d’Abidjan à l’abri d’une quelconque pénurie en eau potable. Depuis 1986, aucun nouveau forage n’a été fait. Or, le nombre de la population abidjanaise ayant augmenté, le besoin en consommation d’eau potable devient important. Ce qui va amener le ministre à recourir à des soutiens financiers en vue de la réalisation de nouveaux forages. Qui sont autant de soucis réels qui font courir le ministre Achi. Face aux sollicitations de l’Etat ivoirien, c’est Eximbank Chine qui a fait droit à la demande de l’Etat de Côte d’Ivoire, en accordant un prêt de 50 milliards de FCFA. Cet argent servira au financement de la réalisation de nouveaux forages à Bonoua et le transport de l’eau via des canalisations jusqu’à Abidjan Sud. Le lundi 6 Août ont eu lieu le lancement des travaux desdits ouvrages. A vrai dire, ces travaux auraient du coûter moins cher, si des investissements avaient été faits auparavant. Malheureusement, durant ces quinze (15) dernières années, aucun investissement n’a été fait, laissant ainsi la population dans une situation sans précédent.
La réhabilitation des axes routiers, un pari pour Patrick Achi
La route précédant le développement, le ministre Patrick Achi a décidé d’en faire une préoccupation. Sur les instructions du Président de la République, il s’emploie à réhabiliter tous les principaux axes routiers et en construire de nouvelles. Le lancement des travaux de la nouvelle autoroute Abidjan-Grand-Lahou le 3 Août 2012 en témoigne.
Le coût des investissements
52 milliards de FCFA, c’est la somme injectée dans la réparation des routes bitumées, la réhabilitation des routes en terre, en 2012 pour près de 20.000 kms de routes. L’objectif à fin 2014 est de traiter l’ensemble des routes et des pistes de Côte d’Ivoire. Il s’agit des axes routiers : Bassam - Noé pour un montant de 25 milliards FCFA, Abengourou-Agnibilékrou pour un montant de 36 milliards de FCFA, le bitumage du tronçon Bouna-Doropo-Frontière du Burkina pour un montant de 40 milliards de FCFA. Outre ces axes, il existe, dans le programme du ministre Patrick Achi, la nouvelle voie express Abobo-Anyama, la construction du Pont de Bouaflé pour un montant de 15 milliards de FCFA. A l’intérieur, plusieurs projets sont en vue. Il s’agit notamment de l’achèvement de l’autoroute du Nord et de son prolongement à Bouaké, du bitumage de l’axe Bouna frontière Burkina Faso.
Patrick Achi, un bâtisseur et un agent de développement au service de la Côte d’Ivoire
Le ministre des Infrastructures économiques, Patrick Achi, est le titulaire d’un département ministériel où on parle avec des preuves : les réalisations, ouvrages, et chantiers réalisés ou en cours. Il est incontestablement avec le ministre Charles Diby Koffi de l’Economie et des Finances, le deuxième membre du gouvernement Ahoussou à tirer son épingle du jeu ou encore à battre les records à l’applaudimètre du peuple de Côte d’Ivoire : le juste juge. Les états de service de ce natif d’Adzopé ne se comptent plus. Lancement des travaux de l’autoroute de Grand-Bassam, de l’eau potable à Bonoua pour les plus récents. A ces deux chantiers dont la pose de la première pierre a été effectuée début août par le président de la République, il y a le prolongement de l’autoroute Abidjan-Yamoussoukro, les deux voies nouvellement construites qui relient Cocody à Abobo, la route Abobo-Anyama en cours de réalisation, le 3ème pont Henri Konan Bédié d’un coût de 125 milliards de FCFA. Délai de livraison 27 mois. Cet ouvrage sera livré en 2013. ‘’C’est le symbole visible du passage des Houphouëtistes, bâtisseurs de la nation’’, avait-il déclaré lors de la pose de la première pierre par les présidents Ouattara et Bédié puis Soro Guillaume à l’époque Premier ministre de Côte d’Ivoire. Patrick Achi est donc un bâtisseur dans la cité et un agent de développement au service de son pays. Ses états de service dans le gouvernement Soro hier et aujourd’hui dans l’équipe de M. Jeannot Ahoussou-Kouadio ne se comptent plus. La liste n’est pas exhaustive. Mais il convient de saluer le bilan du ‘’père’’ des projets d’urgence d’infrastructures urbains après 10 ans de crise et donc de calvaire des usagers de la route dû à la dégradation très avancée des voies à Abidjan. Aujourd’hui, il est aisé de circuler dans la capitale économique, plus de nids de poule, de crevasses et Cocody Angré a été désenclavé avec les deux nouvelles voies et ponts qui relient la 8ème tranche à la 7ème. Seule zone d’ombre à ce tableau riche en réalisations, le pont de Jacqueville dont les travaux ont été stoppés depuis belle lurette. Les populations voient dans ce blocage de la société de construction du pont de Jacqueville (Socojac), une main politique qui tire les marrons du feu alors qu’elles attendent le désenclavement de leur région par la construction de ce pont. Pourquoi ce pont ne sort-il pas encore de terre ? Telles sont les questions adressées au ministre Patrick Achi qui doit ajouter à son tableau d’honneur le démarrage de la construction du pont de Jacqueville.
Honoré Kouassi
Au ministère des Infrastructures économiques, l’on est guidé par un seul slogan: «Les infrastructures précèdent le développement». C’est sur cette base que le chef de l’Etat, Alassane Ouattara, depuis la fin de la crise postélectorale, a inscrit dans ses priorités la réhabilitation des infrastructures économiques de base (routes, écoles, adduction d’eau…). A ce titre, il a donné des instructions fermes à son ministre des Infrastructures économiques, Patrick Achi qui fait mains et pieds pour ne pas décevoir les Ivoiriens. Tous les travaux ont été suivis de bout en bout par le chef de l’Etat qui s’est fait le gendarme auprès de ses ministres. Cinq mois après la formation du gouvernement Ahoussou Kouadio Jeannot, regard rétrospectif sur les grands chantiers menés par le ministre Achi.
Etat des lieux
Au lendemain de la crise postélectorale, le gouvernement a hérité d’un environnement quasiment chaotique dû à l’absence d’investissement. Les infrastructures de base étaient devenues désuètes. L’eau courante était en manque dans plusieurs quartiers d’Abidjan; les pompes villageoises étaient toutes en panne, privant ainsi les populations des zones rurales d’eau. En matière de route, Abidjan, capitale économique avait perdu son lustre d’antan. Les quartiers étaient entrecoupés ou devenus inaccessibles en raison de la présence des nids de poules. A l’intérieur du pays, la situation était dramatique. Un des exemples toujours patents, est la côtière reliant San-Pedro à Dabou. Cette voie express construite dans les années 1990 est devenue impraticable. Ceux qui s’y aventurent sont soumis à des risques de braquage ou à des accidents de circulation dus au mauvais état de la route.
Travaux d’hercule
Dès la fin de la crise postélectorale, avec le premier gouvernement piloté par Guillaume Soro, le ministre des Infrastructures économiques entre en action. Dès le 19 octobre 2011, il lance les travaux de la route du Mahou et du boulevard Latrille. Dans le même mois, le ministre s’est illustré du côté de l’Aéroport Félix Houphouët Boigny, en procédant au lancement des travaux de l’aérogare Charter. Toujours dans le domaine des infrastructures routières, sur la tutelle du ministre Patrick Achi ont démarré plusieurs chantiers dont les travaux de construction de l’échangeur du carrefour de la Riviera 2, le Pont Henri Konan Bédié. Soucieux donc de l’importance de la route dans le dispositif économique, le ministre Patrick Achi n’a jamais caché sa détermination. Prenant part, en mars 2012, à une cérémonie du PUIUR (Projet d`Urgence d`Infrastructures Urbaines), il a assuré que les axes structurants, notamment, la Côtière, la voie Yamoussoukro-Bouaké-Ferké-Ouangolo, les axes Abidjan-Adzopé-Akoupé-Abengourou-Agnibilékro-Bondoukou-Bouna, San Pedro-Soubré-Odienné, N’Douci-Tiassalé-Divo-Lakota-Gagnoa..., qui sont les plus utilisés, seront en chantier. «On a un travail à faire qui va rendre les routes circulables. Ensuite, va suivre un deuxième plan qui va être une réhabilitation lourde suivie d’un entretien qui va se faire désormais de manière régulière», dixit le ministre. Aujourd’hui, toutes ces promesses sont en voie de réalisation. L’on relève que déjà des ouvrages ont été livrés et d’autre en cours de réalisation.
Le Premier ministre Ahoussou dans le bain
Le premier ministre Ahoussou Kouadio Jeannot soutient son ministre des Infrastructures économiques dans ses efforts à réhabiliter l’existant et la réalisation de nouvelles infrastructures. Ce soutien, il l’a toujours démontré, en prenant part aux cérémonies se rapportant à l’inauguration ou au lancement de travaux de construction d’infrastructures nouvelles. C’est bien la preuve que la problématique des infrastructures économiques est une préoccupation qui doit interpeller à tous les niveaux. Le chef de l’Etat en a fait une priorité. Par exemple, en ce qui concerne l’eau, il s’y est investi personnellement, en aidant Patrick Achi à réussir sa mission. Au niveau de la zone d’Abidjan, le président Ouattara a décidé d’injecter 20 milliards de FCFA afin de juguler la question de l’eau potable dont souffrait une partie de la population abidjanaise.
Course contre la montre
C’est à pas de course que le ministre Patrick Achi s’évertue à remettre les infrastructures en l’état. Au niveau de l’eau, l’on sait aujourd’hui avec quelle allure il s’attèle à satisfaire les besoins de la population d’Abidjan. C’est un ministre déterminé qui veut non seulement combler le déficit en eau potable, mais en plus rattraper le retard du passé, en faisant des forages supplémentaires, ce qui permettra de mettre la ville d’Abidjan à l’abri d’une quelconque pénurie en eau potable. Depuis 1986, aucun nouveau forage n’a été fait. Or, le nombre de la population abidjanaise ayant augmenté, le besoin en consommation d’eau potable devient important. Ce qui va amener le ministre à recourir à des soutiens financiers en vue de la réalisation de nouveaux forages. Qui sont autant de soucis réels qui font courir le ministre Achi. Face aux sollicitations de l’Etat ivoirien, c’est Eximbank Chine qui a fait droit à la demande de l’Etat de Côte d’Ivoire, en accordant un prêt de 50 milliards de FCFA. Cet argent servira au financement de la réalisation de nouveaux forages à Bonoua et le transport de l’eau via des canalisations jusqu’à Abidjan Sud. Le lundi 6 Août ont eu lieu le lancement des travaux desdits ouvrages. A vrai dire, ces travaux auraient du coûter moins cher, si des investissements avaient été faits auparavant. Malheureusement, durant ces quinze (15) dernières années, aucun investissement n’a été fait, laissant ainsi la population dans une situation sans précédent.
La réhabilitation des axes routiers, un pari pour Patrick Achi
La route précédant le développement, le ministre Patrick Achi a décidé d’en faire une préoccupation. Sur les instructions du Président de la République, il s’emploie à réhabiliter tous les principaux axes routiers et en construire de nouvelles. Le lancement des travaux de la nouvelle autoroute Abidjan-Grand-Lahou le 3 Août 2012 en témoigne.
Le coût des investissements
52 milliards de FCFA, c’est la somme injectée dans la réparation des routes bitumées, la réhabilitation des routes en terre, en 2012 pour près de 20.000 kms de routes. L’objectif à fin 2014 est de traiter l’ensemble des routes et des pistes de Côte d’Ivoire. Il s’agit des axes routiers : Bassam - Noé pour un montant de 25 milliards FCFA, Abengourou-Agnibilékrou pour un montant de 36 milliards de FCFA, le bitumage du tronçon Bouna-Doropo-Frontière du Burkina pour un montant de 40 milliards de FCFA. Outre ces axes, il existe, dans le programme du ministre Patrick Achi, la nouvelle voie express Abobo-Anyama, la construction du Pont de Bouaflé pour un montant de 15 milliards de FCFA. A l’intérieur, plusieurs projets sont en vue. Il s’agit notamment de l’achèvement de l’autoroute du Nord et de son prolongement à Bouaké, du bitumage de l’axe Bouna frontière Burkina Faso.
Patrick Achi, un bâtisseur et un agent de développement au service de la Côte d’Ivoire
Le ministre des Infrastructures économiques, Patrick Achi, est le titulaire d’un département ministériel où on parle avec des preuves : les réalisations, ouvrages, et chantiers réalisés ou en cours. Il est incontestablement avec le ministre Charles Diby Koffi de l’Economie et des Finances, le deuxième membre du gouvernement Ahoussou à tirer son épingle du jeu ou encore à battre les records à l’applaudimètre du peuple de Côte d’Ivoire : le juste juge. Les états de service de ce natif d’Adzopé ne se comptent plus. Lancement des travaux de l’autoroute de Grand-Bassam, de l’eau potable à Bonoua pour les plus récents. A ces deux chantiers dont la pose de la première pierre a été effectuée début août par le président de la République, il y a le prolongement de l’autoroute Abidjan-Yamoussoukro, les deux voies nouvellement construites qui relient Cocody à Abobo, la route Abobo-Anyama en cours de réalisation, le 3ème pont Henri Konan Bédié d’un coût de 125 milliards de FCFA. Délai de livraison 27 mois. Cet ouvrage sera livré en 2013. ‘’C’est le symbole visible du passage des Houphouëtistes, bâtisseurs de la nation’’, avait-il déclaré lors de la pose de la première pierre par les présidents Ouattara et Bédié puis Soro Guillaume à l’époque Premier ministre de Côte d’Ivoire. Patrick Achi est donc un bâtisseur dans la cité et un agent de développement au service de son pays. Ses états de service dans le gouvernement Soro hier et aujourd’hui dans l’équipe de M. Jeannot Ahoussou-Kouadio ne se comptent plus. La liste n’est pas exhaustive. Mais il convient de saluer le bilan du ‘’père’’ des projets d’urgence d’infrastructures urbains après 10 ans de crise et donc de calvaire des usagers de la route dû à la dégradation très avancée des voies à Abidjan. Aujourd’hui, il est aisé de circuler dans la capitale économique, plus de nids de poule, de crevasses et Cocody Angré a été désenclavé avec les deux nouvelles voies et ponts qui relient la 8ème tranche à la 7ème. Seule zone d’ombre à ce tableau riche en réalisations, le pont de Jacqueville dont les travaux ont été stoppés depuis belle lurette. Les populations voient dans ce blocage de la société de construction du pont de Jacqueville (Socojac), une main politique qui tire les marrons du feu alors qu’elles attendent le désenclavement de leur région par la construction de ce pont. Pourquoi ce pont ne sort-il pas encore de terre ? Telles sont les questions adressées au ministre Patrick Achi qui doit ajouter à son tableau d’honneur le démarrage de la construction du pont de Jacqueville.
Honoré Kouassi