Abidjan (AIP) -L’Opération des Nations Unies en Côte d’Ivoire (ONUCI) et Reporters sans frontière (RSF) condamnent "fermement" l’attaque perpétrée, dans la nuit de samedi à dimanche, contre les locaux du groupe Cyclone, à Abidjan.
Dans un communiqué de presse dont l’AIP a reçu copie, la Mission relève cette attaque est "une atteinte à la liberté d’expression et à la pluralité d’opinions nécessaires à toute démocratie et indispensables dans un pays qui s’efforce de sortir d’une crise".
Pour l’organisation internationale de défense de la liberté de la presse, "rien ne saurait justifier qu'un organe de presse soit la cible d'un tel vandalisme" même si les positions exprimées dans les journaux édités par ce groupe de communication sont "partisanes et souvent virulentes".
C’est pourquoi, espère les responsables de RSF, "les relevés effectués sur place par la police scientifique permettront d'identifier les auteurs de cet acte criminel".
Quant à l’ONUCI, elle "réitère son appel à la retenue et encourage toutes les parties à contribuer à la recherche d’un dialogue inclusif et constructif pour une sortie de crise définitive".
Dans la nuit de samedi à dimanche, des inconnus armés de barres de fer, de gourdins et d’armes à feu ont ligoté le vigile des lieux après avoir escaladé la clôture, avant d’emporter du matériel de bureau et des documents, explique-t-on.
La direction du groupe Cyclone, à en croire RSF, a porté plainte contre X à la police qui s’est rendue sur les lieux pour le constat d’usage et ouvert une enquête à cet effet.
(AIP)
kp
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Dans un communiqué de presse dont l’AIP a reçu copie, la Mission relève cette attaque est "une atteinte à la liberté d’expression et à la pluralité d’opinions nécessaires à toute démocratie et indispensables dans un pays qui s’efforce de sortir d’une crise".
Pour l’organisation internationale de défense de la liberté de la presse, "rien ne saurait justifier qu'un organe de presse soit la cible d'un tel vandalisme" même si les positions exprimées dans les journaux édités par ce groupe de communication sont "partisanes et souvent virulentes".
C’est pourquoi, espère les responsables de RSF, "les relevés effectués sur place par la police scientifique permettront d'identifier les auteurs de cet acte criminel".
Quant à l’ONUCI, elle "réitère son appel à la retenue et encourage toutes les parties à contribuer à la recherche d’un dialogue inclusif et constructif pour une sortie de crise définitive".
Dans la nuit de samedi à dimanche, des inconnus armés de barres de fer, de gourdins et d’armes à feu ont ligoté le vigile des lieux après avoir escaladé la clôture, avant d’emporter du matériel de bureau et des documents, explique-t-on.
La direction du groupe Cyclone, à en croire RSF, a porté plainte contre X à la police qui s’est rendue sur les lieux pour le constat d’usage et ouvert une enquête à cet effet.
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