Abidjan -L’Etat de Côte d’Ivoire, à travers le Fonds de soutien et développement de la presse (FSDP), a apporté environ 3,2 milliards de FCFA, en trois ans, aux médias privés, ont révélé les responsables du FSDP au cours du séminaire bilan organisé ce week-end à Grand-Bassam, selon une note d’information du service de communication du Fonds.
Cette enveloppe financière, à en croire la directrice exécutive du Fonds, Bernise N’Guessan, a servi, pour la période 2009 à 2012, à l’appui matériel, à la formation et au fonds de garantie aux médias privés.
C’est pourquoi, les responsables des organisations professionnelles du secteur (URPCI, UNJCI, GEPCI, OJPCI, SAPPCI, SYNAPP-CI et RIAAM) ont salué l’initiative des dirigeants du Fonds qui travaillent "sans relâche pour l’amélioration des conditions de vie et de travail des journalistes".
Le directeur de Cabinet du ministre de la Communication, Léandre Anoma-Kanié, a exprimé, au nom du ministre Souleïmane Coty-Diakité, toute sa satisfaction face à cette "heureuse" initiative du FSDP d’organiser un séminaire d’évaluation de ses activités.
Il a salué les ministres Coffi-Studer et Ibrahim Sy Savané, les concepteurs et acteurs principaux de l’installation effective du Fonds de soutien et de développement de la presse avant d’ajouter que les conclusions de cette rencontre seront très utiles aux états généraux de la presse (EGP) que le ministère de la Communication s’apprête à organiser, en collaboration avec les associations professionnelles du secteur.
Le ministre de la Communication tient également à exprimer à tous, à travers cet exemple de bonne gouvernance, l’indépendance qu’il a toujours su octroyer à cette structure sous sa tutelle, a-t-il déclaré en guise de mot de fin.
La rencontre du FSDP à Grand-Bassam, de vendredi à samedi, a porté sur le thème "Bilan des activités du FSDP de 2009 à 2011".
Le Fonds de soutien et de développement de la presse est un établissement public administratif qui a pour mission de permettre, d’une part aux entreprises de presse et de communication audiovisuelle de vivre, de se développer et se professionnaliser, et d’autre part aux organisations professionnelles du secteur de réaliser des projets d’intérêt collectif au profit de leurs membres, rappelle-t-on.
Cette enveloppe financière, à en croire la directrice exécutive du Fonds, Bernise N’Guessan, a servi, pour la période 2009 à 2012, à l’appui matériel, à la formation et au fonds de garantie aux médias privés.
C’est pourquoi, les responsables des organisations professionnelles du secteur (URPCI, UNJCI, GEPCI, OJPCI, SAPPCI, SYNAPP-CI et RIAAM) ont salué l’initiative des dirigeants du Fonds qui travaillent "sans relâche pour l’amélioration des conditions de vie et de travail des journalistes".
Le directeur de Cabinet du ministre de la Communication, Léandre Anoma-Kanié, a exprimé, au nom du ministre Souleïmane Coty-Diakité, toute sa satisfaction face à cette "heureuse" initiative du FSDP d’organiser un séminaire d’évaluation de ses activités.
Il a salué les ministres Coffi-Studer et Ibrahim Sy Savané, les concepteurs et acteurs principaux de l’installation effective du Fonds de soutien et de développement de la presse avant d’ajouter que les conclusions de cette rencontre seront très utiles aux états généraux de la presse (EGP) que le ministère de la Communication s’apprête à organiser, en collaboration avec les associations professionnelles du secteur.
Le ministre de la Communication tient également à exprimer à tous, à travers cet exemple de bonne gouvernance, l’indépendance qu’il a toujours su octroyer à cette structure sous sa tutelle, a-t-il déclaré en guise de mot de fin.
La rencontre du FSDP à Grand-Bassam, de vendredi à samedi, a porté sur le thème "Bilan des activités du FSDP de 2009 à 2011".
Le Fonds de soutien et de développement de la presse est un établissement public administratif qui a pour mission de permettre, d’une part aux entreprises de presse et de communication audiovisuelle de vivre, de se développer et se professionnaliser, et d’autre part aux organisations professionnelles du secteur de réaliser des projets d’intérêt collectif au profit de leurs membres, rappelle-t-on.