J’ai mal au cœur de savoir que des supporters aient tout cassé le dimanche (le 26 août 2012, ndlr) au stade Robert Champroux… Ceux qui ont détruit vont payer… Je les poursuivrai», a martelé le ministre du Sport et des Loisirs, Philippe Légré, hier lundi 27 août 2012, lors de la cérémonie d’ouverture d’un séminaire initié par l’Office national des Sports (Ons) avec comme thématique «Partenariat Ons-Fédération sportives ». Pour Légré en effet, il est inconcevable qu’en ces temps de vaches maigres, l’on détruise les acquis «parce qu’on n’a pas apprécié un coup de sifflet d’un arbitre. On doit avoir l’obligation du respect du patrimoine de l’Etat». En attendant d’évaluer les préjudices causés par les supporters de l’Asec au Champroux, Philippe Légré «promet mettre l’Asec et la Fif devant leurs responsabilités».
«Ce séminaire vient à point nommé»
Concernant le plat de résistance, le séminaire en l’occurrence, le ministre Philippe Légré s’est réjouit de sa tenue en ce moment précis. «Il vient à point nommé. Car je suis persuadé que les résolutions qui en découleront nous permettront de recadrer les uns et les autres». Il a félicité le maître d’œuvre Joseph Koffi Aboua, le Directeur de l’Ons pour cette noble initiative. Légré a, dans cette même perspective, exhorté son collaborateur à ne plus admettre que les infrastructures sportives soient utilisées à des fins religieuses ou autres. «Jamais plus vous ne direz oui à qui que ce soit» a-t-il insisté avant de déclarer ouvert le séminaire qui prend fin aujourd’hui.
Eugène Djabia
«Ce séminaire vient à point nommé»
Concernant le plat de résistance, le séminaire en l’occurrence, le ministre Philippe Légré s’est réjouit de sa tenue en ce moment précis. «Il vient à point nommé. Car je suis persuadé que les résolutions qui en découleront nous permettront de recadrer les uns et les autres». Il a félicité le maître d’œuvre Joseph Koffi Aboua, le Directeur de l’Ons pour cette noble initiative. Légré a, dans cette même perspective, exhorté son collaborateur à ne plus admettre que les infrastructures sportives soient utilisées à des fins religieuses ou autres. «Jamais plus vous ne direz oui à qui que ce soit» a-t-il insisté avant de déclarer ouvert le séminaire qui prend fin aujourd’hui.
Eugène Djabia