La Commission Dialogue, Vérité et Réconciliation poursuit sa ‘’Cérémonie de purification et de deuil des violences’’ à travers le pays. Ce vendredi, c’est la ville de Bouaké qui a accueilli Charles Konan Banny, Place du carnaval. Une foule immense avide de paix et de développement. C’est donc à juste titre que le président de la CDVR situera le cadre de la manifestation.
« En ouvrant cette cérémonie, nous pactisons avec la paix », a déclaré Charles Konan Banny. Or, ajoute l’orateur, « on ne peut pactiser avec la paix publiquement et renouer avec la violence une fois chez soi. » Un appel à tous pour que cesse définitivement le cycle de violence qui endeuille le pays et qui freine son développement. Aussi, le Sage de Morofé lance-t-il cet appel à ses compatriotes : « Que tous les fils de la Côte d’Ivoire renouent avec la seule voie qui lui a été tracée, la voie du développement, de la paix et du dialogue. » Paraphrasant le Père de la Nation, son modèle, il explique « qu’il n’y a pas de guerre et de violence qui ne finisse pas par le dialogue. »
Auparavant, Nanan Gbèké Jacques, chef du village de Kouassiblékro et Nanan Gnablé de Konankankro avaient imploré les mânes des ancêtres pour que le pays retrouve la paix léguée par Félix Houphouët-Boigny. A leur suite, l’Imam El Hadj Madou Sy de la Grande mosquée, le Père Gérard avec, à ses côtés, Mgr Ahouana pour les catholique, Pasteur Jaques Kouakou (Protestants), et Supérieur Kouadio Konan des Chrétiens célestes ont tour à tour imploré Dieu dans le même sens. Sans compter les danseuses d’adjanou. Fort de ces appuis, Charles Konan Banny a prévenu : « On ne ruse pas avec Dieu ». Une invite à tous ceux qui l’ont écouté et ont prié avec les différentes confessions religieuses à considérer leurs prières comme un engagement pris vis-à-vis de Dieu et pour la nation.
Notons la présence aux côtés de Charles Konan Banny, des autorités administratives, politiques et coutumières de tous bords et des élus de la capitale de la région du Gbêkè.
Albert Konan Kouassi
« En ouvrant cette cérémonie, nous pactisons avec la paix », a déclaré Charles Konan Banny. Or, ajoute l’orateur, « on ne peut pactiser avec la paix publiquement et renouer avec la violence une fois chez soi. » Un appel à tous pour que cesse définitivement le cycle de violence qui endeuille le pays et qui freine son développement. Aussi, le Sage de Morofé lance-t-il cet appel à ses compatriotes : « Que tous les fils de la Côte d’Ivoire renouent avec la seule voie qui lui a été tracée, la voie du développement, de la paix et du dialogue. » Paraphrasant le Père de la Nation, son modèle, il explique « qu’il n’y a pas de guerre et de violence qui ne finisse pas par le dialogue. »
Auparavant, Nanan Gbèké Jacques, chef du village de Kouassiblékro et Nanan Gnablé de Konankankro avaient imploré les mânes des ancêtres pour que le pays retrouve la paix léguée par Félix Houphouët-Boigny. A leur suite, l’Imam El Hadj Madou Sy de la Grande mosquée, le Père Gérard avec, à ses côtés, Mgr Ahouana pour les catholique, Pasteur Jaques Kouakou (Protestants), et Supérieur Kouadio Konan des Chrétiens célestes ont tour à tour imploré Dieu dans le même sens. Sans compter les danseuses d’adjanou. Fort de ces appuis, Charles Konan Banny a prévenu : « On ne ruse pas avec Dieu ». Une invite à tous ceux qui l’ont écouté et ont prié avec les différentes confessions religieuses à considérer leurs prières comme un engagement pris vis-à-vis de Dieu et pour la nation.
Notons la présence aux côtés de Charles Konan Banny, des autorités administratives, politiques et coutumières de tous bords et des élus de la capitale de la région du Gbêkè.
Albert Konan Kouassi