Les étudiants français du Mouvement des étudiants (Mét) de France, l’un des plus importants de l’hexagone, ont échangé, hier, avec leurs homologues ivoiriens membres des associations estudiantines. Et ce, dans le cadre des journées dites du départ nouveau, manifestations, qui se tiennent autour de la prochaine rentrée universitaire. C’était hier à l’ex-université de Cocody, désormais Université Houphouet-Boigny de Cocody. Le président du Mét, Antoine Diers, et ses camarades ont instruit leurs homologues des principes de bonne gouvernance d’associations d’étudiants.
Abordant la question de la politique à la l’université, Antoine Diers a fait savoir que contrairement ax pays africains et surtout à la Côte d’Ivoire où la politique a fait son intrusion à l’université depuis 1990, «En France, il existe une loi qui interdit l’accès aux campus des partis politiques. Et, elle est appliquée à la lettre», a-t-il révélé. Il a, par ailleurs, indiqué qu’il revient aux responsables des associations estudiantines de préserver leur indépendance en évitant d’être manipulés par les politiciens. Contrairement à ce qui est devenu normal dans nos universités. Tous ont plaidé pour que le départ nouveau mette fin à tout ce qui a été vécu par le passé à l’université et que des mesures soient prises pour ne plus que nos universités soient des champs d’idées politiciennes et de violence.
JEAN PRISCA
Abordant la question de la politique à la l’université, Antoine Diers a fait savoir que contrairement ax pays africains et surtout à la Côte d’Ivoire où la politique a fait son intrusion à l’université depuis 1990, «En France, il existe une loi qui interdit l’accès aux campus des partis politiques. Et, elle est appliquée à la lettre», a-t-il révélé. Il a, par ailleurs, indiqué qu’il revient aux responsables des associations estudiantines de préserver leur indépendance en évitant d’être manipulés par les politiciens. Contrairement à ce qui est devenu normal dans nos universités. Tous ont plaidé pour que le départ nouveau mette fin à tout ce qui a été vécu par le passé à l’université et que des mesures soient prises pour ne plus que nos universités soient des champs d’idées politiciennes et de violence.
JEAN PRISCA