Yamoussoukro, 03 sept(AIP) – Lors d’un point de presse tenu en marge des travaux de restitution des états généraux de la presse, vendredi à Yamoussoukro, le secrétaire général (SG) du Syndicat des agents de la presse privée de Côte d’Ivoire (SYNAPPCI), Guillaume Gbato a demandé aux patrons de presse d’appliquer la convention collective ou de quitter le secteur.
Le SG du SYNAPPCI qui n’a pas caché sa satisfaction tout en insistant sur la mise en œuvre effective des conclusions des états généraux de la presse, n’a pas porté de gants pour prévenir les patrons de presse quant l’application de la convention collective pour le bonheur des journalistes.
« Maintenant que les assises de Yamoussoukro sont achevées et recommandent vivement l’application de la convention collective adoptée depuis 2007, ceux qui ne peuvent pas appliquer la convention collective doivent purement et simplement quitter le secteur», a martelé M. Gbato.
Selon lui, l’application effective de la convention collective dans le secteur est à coup sûr une des principales conditions pour une presse ivoirienne professionnelle. « Maintenant que les conclusions des travaux sont confiés au Conseil national de la presse (CNP), cet organe a le devoir de veiller à l’application de la convention par les organes de presse. Cela doit être irréversible… Et le CNP doit donc prendre ses responsabilités historiques », a-t-il dit.
Guillaume Gbato a annoncé que le Syndicat va désormais se mobiliser pour faire plier l’échine au CNP au cas où il tergiverserait. « Nous devons nous mobiliser pour mettre le CNP devant ses responsabilités », a-t-il affirmé. L'un des points phares de la convention collective est la revalorisation salariale des agents des médias.
L’atelier de restitution des travaux des états généraux de la presse tenu autour du thème « Des états généraux, pour une presse plus performante », a été organisé de jeudi à vendredi à Yamoussoukro en présence du ministre de la Communication, Souleïmane Coty Diakité.
(AIP)
zgrp/cmas
(AIP)
Le SG du SYNAPPCI qui n’a pas caché sa satisfaction tout en insistant sur la mise en œuvre effective des conclusions des états généraux de la presse, n’a pas porté de gants pour prévenir les patrons de presse quant l’application de la convention collective pour le bonheur des journalistes.
« Maintenant que les assises de Yamoussoukro sont achevées et recommandent vivement l’application de la convention collective adoptée depuis 2007, ceux qui ne peuvent pas appliquer la convention collective doivent purement et simplement quitter le secteur», a martelé M. Gbato.
Selon lui, l’application effective de la convention collective dans le secteur est à coup sûr une des principales conditions pour une presse ivoirienne professionnelle. « Maintenant que les conclusions des travaux sont confiés au Conseil national de la presse (CNP), cet organe a le devoir de veiller à l’application de la convention par les organes de presse. Cela doit être irréversible… Et le CNP doit donc prendre ses responsabilités historiques », a-t-il dit.
Guillaume Gbato a annoncé que le Syndicat va désormais se mobiliser pour faire plier l’échine au CNP au cas où il tergiverserait. « Nous devons nous mobiliser pour mettre le CNP devant ses responsabilités », a-t-il affirmé. L'un des points phares de la convention collective est la revalorisation salariale des agents des médias.
L’atelier de restitution des travaux des états généraux de la presse tenu autour du thème « Des états généraux, pour une presse plus performante », a été organisé de jeudi à vendredi à Yamoussoukro en présence du ministre de la Communication, Souleïmane Coty Diakité.
(AIP)
zgrp/cmas
(AIP)
