Abidjan. Son parcours est atypique et digne d’un vrai monstre du football. Anonyme joueur, il y a 10 ans, Didier est plus que jamais sous les spot-lights. Sur le terrain ou en dehors, il s’est taillé une notoriété légendaire. La Côte d’Ivoire, son pays d’origine savoure. Ses clubs acquéreurs aussi.
Si je dois partir à la guerre, et que je devais choisir un frère d’armes pour m’accompagner, je choisirais Didier Drogba». Simple, concise et précise, cette phrase signée José Mourinho, dans la préface de la biographie de l’international ivoirien, est lourde de sens. Elle exprime non seulement le degré d’affection entre les deux personnalités, qui ont travaillé ensemble à Chelsea, mais surtout la force de caractère d’un joueur devenu icône mondiale alors que, comme il le reconnaît lui-même, « C’était pas gagné.» (….)
Comme par enchantement, sans même avoir fini de savourer son sacre en Ligue des champions avec Chelsea, Didier Drogba s`est retrouvé l`été dernier en Chine. Une nouvelle escale pas du tout ordinaire pour le capitaine des Eléphants. On y a vu les signes de la fin, ou encore une quête d`argent. Rien de tout cela, assure le concerné. Didier Drogba, qui a accepté de s`ouvrir exclusivement à LE MATCH, fait des confidences sur ce transfert pour le moins médiatisé, mais également sur sa vie de famille.
Comment t`es-tu retrouvé subitement en Chine?
C`est une nouvelle expérience. Une nouvelle vie qui commence pour moi, avec son lot de surprises et de découvertes. Je suis content parce que ça me plaît, j`aime ça. Tout s`est très bien passé. L`accueil surtout a été magnifique.
Aurais-tu fait le choix de Shenhua parce qu`Anelka y évolue?
J`ai fait ce choix certes parce qu`il y a Nico (NDLR: Nicolas Anelka, son ancien coéquipier à Chelsea). Mais, c`est surtout parce que j`avais envie de vivre une autre expérience, quelque chose de différent. J`ai fait l`Europe. Je connais très bien ce continent. Avant d`y être, j`étais dans mon pays. A un moment, j`ai dû partir. Ça a été très enrichissant. Je suis donc dans la continuité. C`est ma "life" qui se poursuit et je suis content d`être là-bas.
Est-ce qu`en partant tu t`es dit qu`il n`y avait plus rien à gagner après la Ligue des champions?
Non, pas tout. C`est sûr qu`il y avait d`autres challenges en Europe, d`autres trophées à
remporter.
Retrouvez l’intégralité de l’interview dans le magazine « LE MATCH, l’hebdo » disponible dans tous les kiosques et librairies.
Si je dois partir à la guerre, et que je devais choisir un frère d’armes pour m’accompagner, je choisirais Didier Drogba». Simple, concise et précise, cette phrase signée José Mourinho, dans la préface de la biographie de l’international ivoirien, est lourde de sens. Elle exprime non seulement le degré d’affection entre les deux personnalités, qui ont travaillé ensemble à Chelsea, mais surtout la force de caractère d’un joueur devenu icône mondiale alors que, comme il le reconnaît lui-même, « C’était pas gagné.» (….)
Comme par enchantement, sans même avoir fini de savourer son sacre en Ligue des champions avec Chelsea, Didier Drogba s`est retrouvé l`été dernier en Chine. Une nouvelle escale pas du tout ordinaire pour le capitaine des Eléphants. On y a vu les signes de la fin, ou encore une quête d`argent. Rien de tout cela, assure le concerné. Didier Drogba, qui a accepté de s`ouvrir exclusivement à LE MATCH, fait des confidences sur ce transfert pour le moins médiatisé, mais également sur sa vie de famille.
Comment t`es-tu retrouvé subitement en Chine?
C`est une nouvelle expérience. Une nouvelle vie qui commence pour moi, avec son lot de surprises et de découvertes. Je suis content parce que ça me plaît, j`aime ça. Tout s`est très bien passé. L`accueil surtout a été magnifique.
Aurais-tu fait le choix de Shenhua parce qu`Anelka y évolue?
J`ai fait ce choix certes parce qu`il y a Nico (NDLR: Nicolas Anelka, son ancien coéquipier à Chelsea). Mais, c`est surtout parce que j`avais envie de vivre une autre expérience, quelque chose de différent. J`ai fait l`Europe. Je connais très bien ce continent. Avant d`y être, j`étais dans mon pays. A un moment, j`ai dû partir. Ça a été très enrichissant. Je suis donc dans la continuité. C`est ma "life" qui se poursuit et je suis content d`être là-bas.
Est-ce qu`en partant tu t`es dit qu`il n`y avait plus rien à gagner après la Ligue des champions?
Non, pas tout. C`est sûr qu`il y avait d`autres challenges en Europe, d`autres trophées à
remporter.
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