Abidjan- Les patrons de presse ivoiriens, regroupés au sein du Groupement des éditeurs de presse de Côte d’Ivoire (GEPCI), se disent satisfaits des conclusions des états généraux de la presse écrite ivoirienne, tenus du 29 au 31 août à Yamoussoukro.
Lors d’une conférence de presse, ce mardi, au siège de son organisation, le président du GEPCI, Amédée Assi, s’est réjoui que "les principales revendications du GEPCI figurent dans le communiqué final des états de la presse" desdites assises.
Il s’agit de "l’amélioration des mesures fiscales, l’annulation des taxes, la baisse du prix du tirage des journaux par les imprimeries, le paiement des publicités par les agences publicitaires".
"Si ces mesures sont appliquées, elles permettront aux entreprises de presse d’être plus performantes", a-t-il soutenu, invitant les journalistes à soutenir le GEPCI dans le "combat" pour l’amélioration de leurs conditions sociales. Il a également rassuré quant à "l’application effective de la convention collective".
Exprimant son soutien à l’Etat pour son engagement en faveur des journalistes, Amédée Assi a exhorté les éditeurs, patrons de presse et les confrères à "plus de solidarité".
Lors d’une conférence de presse, ce mardi, au siège de son organisation, le président du GEPCI, Amédée Assi, s’est réjoui que "les principales revendications du GEPCI figurent dans le communiqué final des états de la presse" desdites assises.
Il s’agit de "l’amélioration des mesures fiscales, l’annulation des taxes, la baisse du prix du tirage des journaux par les imprimeries, le paiement des publicités par les agences publicitaires".
"Si ces mesures sont appliquées, elles permettront aux entreprises de presse d’être plus performantes", a-t-il soutenu, invitant les journalistes à soutenir le GEPCI dans le "combat" pour l’amélioration de leurs conditions sociales. Il a également rassuré quant à "l’application effective de la convention collective".
Exprimant son soutien à l’Etat pour son engagement en faveur des journalistes, Amédée Assi a exhorté les éditeurs, patrons de presse et les confrères à "plus de solidarité".