L’économie nationale repose sur l’agriculture, mais les paysans vivent dans des conditions minables. L’Union interrégionale de coopératives agricoles de Côte d’Ivoire (Urecaci) entend corriger cette situation. Forte d’une quarantaine de coopératives actives sur toute l’étendue du territoire, elle a obtenu de partenaires américains leur implantation sur place. C’est un programme ambitieux de création de plantations de maïs qu’envisagent les compatriotes de
Barack Obama séduits par la fertilité du sol ivoirien. Pour Ouattara Largaton Karim, président de l’Urecaci, l’arrivée des partenaires est prévue en décembre et le budget serait bouclé. Al’en croire, environ 10.000 jeunes bénéficieront de cette opportunité. Car il s’agit de création d’une entreprise de transformation de maïs. Tout cela ne sera possible qu’avec l’installation
de jeunes dotés de machines modernes et de tracteurs pour produire du maïs en grande quantité.
Autre particularité du projet, ces Américains comptent utiliser uniquement l’engrais Bio fabriqué par des résidus des fonds marins. Pour le premier responsable de l’Urecaci, l’objectif est de permettre aux paysans de tous les départements agricoles de vivre de
leurs activités. Il en veut pour preuves des actions déjà entreprises. Notamment l’assistance à des femmes constituées en coopératives pour la vente de beurre de karité, les projets d’assurance maladie pour les membres de l’union.
Le journaliste retourné à la terre se félicite, par ailleurs, de l’agrément du ministère de l’Agriculture et de l’attention accordée au projet de l’Urecaci. Car l’union a d’autres projets, notamment dans l’anacarde .
K. Anderson
Barack Obama séduits par la fertilité du sol ivoirien. Pour Ouattara Largaton Karim, président de l’Urecaci, l’arrivée des partenaires est prévue en décembre et le budget serait bouclé. Al’en croire, environ 10.000 jeunes bénéficieront de cette opportunité. Car il s’agit de création d’une entreprise de transformation de maïs. Tout cela ne sera possible qu’avec l’installation
de jeunes dotés de machines modernes et de tracteurs pour produire du maïs en grande quantité.
Autre particularité du projet, ces Américains comptent utiliser uniquement l’engrais Bio fabriqué par des résidus des fonds marins. Pour le premier responsable de l’Urecaci, l’objectif est de permettre aux paysans de tous les départements agricoles de vivre de
leurs activités. Il en veut pour preuves des actions déjà entreprises. Notamment l’assistance à des femmes constituées en coopératives pour la vente de beurre de karité, les projets d’assurance maladie pour les membres de l’union.
Le journaliste retourné à la terre se félicite, par ailleurs, de l’agrément du ministère de l’Agriculture et de l’attention accordée au projet de l’Urecaci. Car l’union a d’autres projets, notamment dans l’anacarde .
K. Anderson