Les hommes de presse pourraient bientôt pousser un ouf de soulagement. La convention collective du secteur devrait connaître un début d’application dès la fin de ce mois.
Après la rencontre de jeudi au siège du Conseil national de la presse (CNP) à Cocody entre les syndicats de presse et le Groupement des éditeurs de presse de Côte d’Ivoire (GEPCI), Guillaume Gbato, secrétaire général du Syndicat national des agents de la presse privée de Côte d’Ivoire (Synappci), fait le point : «Comme je vous l’avais dit, nous avons discuté. Et comme d’habitude, le GEPCI a fait valoir ses arguments. Les gens ont pris le pouls de la situation eu égard des arguments développés par les uns et les autres, qui ont compris par la suite qu’il fallait faire appliquer la loi puisque tous les textes le disent clairement. Le CNP a estimé qu’il faille lui donner le temps de prendre les décisions. L’essentiel est que le protocole d’accord qui n’a pas été jusque-là appliqué par le GEPCI le sera dès la fin de ce mois de septembre 2012 à 1400 F Cfa. Cela, pendant trois mois. De façon automatique à partir du 1er janvier 2013, par décision du CNP, la valeur du point va passer à 1700 F Cfa. Enfin, dès janvier 2014, nous allons avoir une application pleine et entière. Mieux, désormais, la convention collective sera une condition avant la création des entreprises de presse. Il s’agira maintenant, dans les mois qui viennent, pour les autorités d’amener les patrons de presse à se conformer à la loi. Il n’y aura pas que la valeur du point qui fera partie de la convention collective. Il y aura plusieurs autres avantages », annonce Guillaume Gbato.
SR (stagiaire)
Après la rencontre de jeudi au siège du Conseil national de la presse (CNP) à Cocody entre les syndicats de presse et le Groupement des éditeurs de presse de Côte d’Ivoire (GEPCI), Guillaume Gbato, secrétaire général du Syndicat national des agents de la presse privée de Côte d’Ivoire (Synappci), fait le point : «Comme je vous l’avais dit, nous avons discuté. Et comme d’habitude, le GEPCI a fait valoir ses arguments. Les gens ont pris le pouls de la situation eu égard des arguments développés par les uns et les autres, qui ont compris par la suite qu’il fallait faire appliquer la loi puisque tous les textes le disent clairement. Le CNP a estimé qu’il faille lui donner le temps de prendre les décisions. L’essentiel est que le protocole d’accord qui n’a pas été jusque-là appliqué par le GEPCI le sera dès la fin de ce mois de septembre 2012 à 1400 F Cfa. Cela, pendant trois mois. De façon automatique à partir du 1er janvier 2013, par décision du CNP, la valeur du point va passer à 1700 F Cfa. Enfin, dès janvier 2014, nous allons avoir une application pleine et entière. Mieux, désormais, la convention collective sera une condition avant la création des entreprises de presse. Il s’agira maintenant, dans les mois qui viennent, pour les autorités d’amener les patrons de presse à se conformer à la loi. Il n’y aura pas que la valeur du point qui fera partie de la convention collective. Il y aura plusieurs autres avantages », annonce Guillaume Gbato.
SR (stagiaire)