L'Opération des Nations unies en Côte d'Ivoire (Onuci) souligne "l'urgence" de la relance du dialogue politique entre le gouvernement ivoirien et son opposition suite au regain de tension dans le pays consécutif à la vague d'arrestation liée aux attaques meurtrières contre les positions de l'armée.
"Pour les Nations Unies, le dialogue est capital pour mettre fin à toute violence dans le pays", a déclaré le chef de l'Onuci, Bert Koenders, à l'issue d'une rencontre vendredi avec le président de la Commission dialogue, vérité et réconciliation ( CDVR), Charles Konan Banny.
M. Koenders a indiqué avoir souligné "l'urgence de renouer avec le dialogue politique" en Côte d'Ivoire.
Selon le chef de la mission onusienne, M. Banny et lui ont analysé les pistes pour parvenir à la réussite de ce dialogue.
Lundi la Ligue des mouvements pour le progrès (LMP) regroupant des "petits" partis de l'opposition ivoirienne proche de l'ex- président Laurent Gbagbo a appelé à la relance du dialogue avec les partis au pouvoir pour "sortir la Côte d'Ivoire de l'engrenage de la violence" auquel elle est confrontée depuis début d'août.
Le Front populaire ivoirien (FPI, de Laurent Gbagbo) demande également un "dialogue direct" avec le gouvernement pour poser ses préoccupations "particulières".
Le dialogue entre le gouvernement et son opposition lancé en septembre dernier a été interrompu avant d'être relancé fin avril à Grand-Bassam (sud-est, 35 km d'Abidjan) lors d'un conclave.
Le FPI, présent à l'ouverture des travaux en tant qu'observateur, n'avait pas signé le communiqué final qui crée un "Cadre permanent de dialogue" entre le gouvernement et l'opposition.
En juillet, le parti de Gbagbo avait renoué le dialogue avec le gouvernement lors d'une rencontre présidée par le Premier ministre Jeannot Kouadio-Ahoussou.
M. Kouadio-Ahoussou avait demandé au FPI de rejoindre le "Cadre permanent de dialogue" pour poser ses préoccupations.
"Pour les Nations Unies, le dialogue est capital pour mettre fin à toute violence dans le pays", a déclaré le chef de l'Onuci, Bert Koenders, à l'issue d'une rencontre vendredi avec le président de la Commission dialogue, vérité et réconciliation ( CDVR), Charles Konan Banny.
M. Koenders a indiqué avoir souligné "l'urgence de renouer avec le dialogue politique" en Côte d'Ivoire.
Selon le chef de la mission onusienne, M. Banny et lui ont analysé les pistes pour parvenir à la réussite de ce dialogue.
Lundi la Ligue des mouvements pour le progrès (LMP) regroupant des "petits" partis de l'opposition ivoirienne proche de l'ex- président Laurent Gbagbo a appelé à la relance du dialogue avec les partis au pouvoir pour "sortir la Côte d'Ivoire de l'engrenage de la violence" auquel elle est confrontée depuis début d'août.
Le Front populaire ivoirien (FPI, de Laurent Gbagbo) demande également un "dialogue direct" avec le gouvernement pour poser ses préoccupations "particulières".
Le dialogue entre le gouvernement et son opposition lancé en septembre dernier a été interrompu avant d'être relancé fin avril à Grand-Bassam (sud-est, 35 km d'Abidjan) lors d'un conclave.
Le FPI, présent à l'ouverture des travaux en tant qu'observateur, n'avait pas signé le communiqué final qui crée un "Cadre permanent de dialogue" entre le gouvernement et l'opposition.
En juillet, le parti de Gbagbo avait renoué le dialogue avec le gouvernement lors d'une rencontre présidée par le Premier ministre Jeannot Kouadio-Ahoussou.
M. Kouadio-Ahoussou avait demandé au FPI de rejoindre le "Cadre permanent de dialogue" pour poser ses préoccupations.