En attendant l’application, sur le terrain, du système Lmd dans le pays, l’idée d’université a constitué le plat de résistance d’une importante réflexion, les mardi 18 et mercredi 19 septembre à l’Ecole nationale supérieure de statistiques et d’économie appliquée (Ensea). A l’instigation de l’université internationale des sciences sociales Hampaté Bâ, plusieurs savants ont planché sur «L’idée de l’université africaine aujourd’hui». «Quel sens peut bien prendre un colloque sur l’idée de l’université africaine, Quel rapport une réflexion sur l’idée de l’université africaine peut avoir avec la réforme engagée pour le système Lmd dans l’université ?», s’est interrogé.
Séraphin Essane, coordonateur du colloque à l’ouverture des travaux. Avant d’indiquer que l’objectif général de ce rendez-vous est de contribuer à l’éclairage des paradigmes qui font obligation de «penser la reforme» de l’université en Afrique subsaharienne. D’où les objectifs spécifiques qui visent à «offrir une documentation et une analyse intégrée et cohérente des questions qui se posent et des défis à relever sur le futur de l’université en Afrique, sur l’idée de l’université africaine aujourd’hui». La cérémonie d’ouverture a enregistré la présence de Cissé Sindou, représentant du ministère de l’Enseignement supérieur et de la Réforme scientifique.
M’Bah A.
Séraphin Essane, coordonateur du colloque à l’ouverture des travaux. Avant d’indiquer que l’objectif général de ce rendez-vous est de contribuer à l’éclairage des paradigmes qui font obligation de «penser la reforme» de l’université en Afrique subsaharienne. D’où les objectifs spécifiques qui visent à «offrir une documentation et une analyse intégrée et cohérente des questions qui se posent et des défis à relever sur le futur de l’université en Afrique, sur l’idée de l’université africaine aujourd’hui». La cérémonie d’ouverture a enregistré la présence de Cissé Sindou, représentant du ministère de l’Enseignement supérieur et de la Réforme scientifique.
M’Bah A.