«La communauté internationale regarde ce pays. Aujourd’hui, il entretient des commanditaires d’une rébellion en Côte d’Ivoire. Cela doit l’interpeller parce que quand la rébellion finira ici, il connaîtra la sienne. Il faut donc que la question des exilés soit réglée une fois pour de bon parce qu’ils ne puissent pas continuer de faire des déclarations incendiaires. Autrement, c’est une très bonne décision parce que depuis très longtemps nous avions des informations selon lesquelles les attaques en Côte d’Ivoire sont commanditées depuis le Ghana. Malheureusement, le gouvernement de ce pays n’a pas pris au sérieux ces menaces.»
Coulisses Publié le lundi 24 septembre 2012 | Nord-Sud