le représentant du premier magistrat de la commune, Séblé Blaise, la présence du programme d’urgence des Etats-Unis à Bouaké dénote de la bonne santé des relations bilatérales entre la Côte d’Ivoire Dans le cadre de la lutte contre le Vih Sida et de la prise en charge des personnes vivant avec cette maladie, la Fondation Elisabeth Glaser vient de lancer officiellement le projet ‘’Keneya’’. C’était le week-end dernier à la place de la paix de Bouaké.
Ce projet de base communautaire a pour objectif, la réinsertion dans la communauté des personnes affectées ou infectées par la maladie et de leur suivi. Le directeur régional de la santé et de la lutte contre le sida, Dr Koffi N’Guessan, a exprimé sa satisfaction et celle des bénéficiaires. Pour lui, il faut dire oui à la vie à travers ce projet. Pour et les Etats-Unis d’Amérique. Selon Dr. Essombo Joseph, directeur pays d’EGFAR-CI, le moment est solennel pour partager un même espoir d’une génération sans sida. Il a aussi rappelé que les médicaments pour traiter la maladie existent. Ce, grâce à l’aide des dirigeants du pays et celle des partenaires extérieurs. A en croire le médecin, la Côte d’Ivoire a les ressources humaines qu’il faut pour aboutir à une génération sans sida. Mais pour ce faire, Dr. Essombo invite les uns et les autres à y mettre de la volonté. Toutefois, il promet que la Fondation Elizabeth Glaser est prête à redonner cet espoir dans le cœur de tous. Prenant la parole, Thérèse Wingate, responsable du CDC (center of diseases care) a indiqué que ledit projet va contribuer à la réduction des risques liés aux complications de la maladie. Puis, elle a réitéré l’engagement du gouvernement américain à demeurer aux côtés des Ivoiriens dans le cadre de la lutte contre la pandémie. Djandé Lorng, sous préfet de Brobo, représentant le préfet de région n’est pas allé avec le dos de la cuillère pour asséner ses vérités aux bailleurs de fonds. «Il faut utiliser les moyens nécessaires pour la santé et non les utiliser pour financer les guerres», a-t-il martelé. Il est bon de rappeler que le projet Keney a une durée de cinq (05) ans dans son exécution.
Bosco de Paré
Ce projet de base communautaire a pour objectif, la réinsertion dans la communauté des personnes affectées ou infectées par la maladie et de leur suivi. Le directeur régional de la santé et de la lutte contre le sida, Dr Koffi N’Guessan, a exprimé sa satisfaction et celle des bénéficiaires. Pour lui, il faut dire oui à la vie à travers ce projet. Pour et les Etats-Unis d’Amérique. Selon Dr. Essombo Joseph, directeur pays d’EGFAR-CI, le moment est solennel pour partager un même espoir d’une génération sans sida. Il a aussi rappelé que les médicaments pour traiter la maladie existent. Ce, grâce à l’aide des dirigeants du pays et celle des partenaires extérieurs. A en croire le médecin, la Côte d’Ivoire a les ressources humaines qu’il faut pour aboutir à une génération sans sida. Mais pour ce faire, Dr. Essombo invite les uns et les autres à y mettre de la volonté. Toutefois, il promet que la Fondation Elizabeth Glaser est prête à redonner cet espoir dans le cœur de tous. Prenant la parole, Thérèse Wingate, responsable du CDC (center of diseases care) a indiqué que ledit projet va contribuer à la réduction des risques liés aux complications de la maladie. Puis, elle a réitéré l’engagement du gouvernement américain à demeurer aux côtés des Ivoiriens dans le cadre de la lutte contre la pandémie. Djandé Lorng, sous préfet de Brobo, représentant le préfet de région n’est pas allé avec le dos de la cuillère pour asséner ses vérités aux bailleurs de fonds. «Il faut utiliser les moyens nécessaires pour la santé et non les utiliser pour financer les guerres», a-t-il martelé. Il est bon de rappeler que le projet Keney a une durée de cinq (05) ans dans son exécution.
Bosco de Paré