«Quelles relations entre les médias et le parlement». C’est le thème central de cette session de formation organisée par l’ambassade des Etats-Unis en Côte d’Ivoire, en collaboration avec l’Unjci (Union nationale des journalistes de Côte d’Ivoire) et qui prend fin le vendredi 28 septembre 2012.
Pour Marius N’dri Koffi, chef des services législatifs par intérim de l’Assemblée Nationale qui animait la première conférence, il s’agit à travers cette formation de favoriser une meilleure connaissance du fonctionnement des institutions parlementaires, une bonne maîtrise des méthodes et techniques du journalisme parlementaire, donner les outils nécessaires aux journalistes afin de mieux couvrir les activités parlementaires par la maîtrise du vocabulaire de l’institution. Car à l’analyse des différents reportages sur les activités de ladite institution, il ressort beaucoup d’amalgames dans l’utilisation des terminologies. « Le vocabulaire parlementaire joue un rôle crucial dans le traitement de l’information. Une séance inaugurale qui est convoquée par le doyen des députés pour désigner le président de l’institution est différente d’une session ordinaire qui elle, est convoquée par le président de l’Assemblée nationale. Prononcer l’un des termes à la place de l’autre n’est pas juste», a expliqué Marius N’Dri Koffi. Outre cette communication, dans laquelle le directeur par intérim des services législatifs a éclairé les journalistes sur le fonctionnement de l’Assemblée Nationale, M. Eduardo Cué, journaliste américain, ayant une expérience en matière de couverture des activités du congrès américain, a instruit l’auditoire.
Selon lui, le journaliste doit vérifier toutes ses sources avant de les mettre sous presse et surtout, il doit toujours rester dans une position d’adversaire vis-à-vis des hommes politiques dont le seul but est de se servir d’eux par le biais de leur canard pour atteindre leur but. Car, a-t-il relevé, «Les politiques cherchent par tous les moyens de garder le pouvoir et le journaliste n’est là qu’un instrument de cette ambition». Les journalistes ne doivent pas perdre de vue, leur rôle d’éclaireur. Quant au type de journalisme qui convient dans la couverture des activités du parlement, Eduardo Cué estime que le journaliste doit être critique et informateur. «Il ne faut pas à l’Assemblée nationale ivoirienne, des journalistes militants, mais surtout des journalistes critiques et informateurs qui vont au-delà de l’information reçue. C’est la meilleure des combinaisons pour permettre au parlement de bien jouer son rôle», a-t-il souligné.
K.H
Pour Marius N’dri Koffi, chef des services législatifs par intérim de l’Assemblée Nationale qui animait la première conférence, il s’agit à travers cette formation de favoriser une meilleure connaissance du fonctionnement des institutions parlementaires, une bonne maîtrise des méthodes et techniques du journalisme parlementaire, donner les outils nécessaires aux journalistes afin de mieux couvrir les activités parlementaires par la maîtrise du vocabulaire de l’institution. Car à l’analyse des différents reportages sur les activités de ladite institution, il ressort beaucoup d’amalgames dans l’utilisation des terminologies. « Le vocabulaire parlementaire joue un rôle crucial dans le traitement de l’information. Une séance inaugurale qui est convoquée par le doyen des députés pour désigner le président de l’institution est différente d’une session ordinaire qui elle, est convoquée par le président de l’Assemblée nationale. Prononcer l’un des termes à la place de l’autre n’est pas juste», a expliqué Marius N’Dri Koffi. Outre cette communication, dans laquelle le directeur par intérim des services législatifs a éclairé les journalistes sur le fonctionnement de l’Assemblée Nationale, M. Eduardo Cué, journaliste américain, ayant une expérience en matière de couverture des activités du congrès américain, a instruit l’auditoire.
Selon lui, le journaliste doit vérifier toutes ses sources avant de les mettre sous presse et surtout, il doit toujours rester dans une position d’adversaire vis-à-vis des hommes politiques dont le seul but est de se servir d’eux par le biais de leur canard pour atteindre leur but. Car, a-t-il relevé, «Les politiques cherchent par tous les moyens de garder le pouvoir et le journaliste n’est là qu’un instrument de cette ambition». Les journalistes ne doivent pas perdre de vue, leur rôle d’éclaireur. Quant au type de journalisme qui convient dans la couverture des activités du parlement, Eduardo Cué estime que le journaliste doit être critique et informateur. «Il ne faut pas à l’Assemblée nationale ivoirienne, des journalistes militants, mais surtout des journalistes critiques et informateurs qui vont au-delà de l’information reçue. C’est la meilleure des combinaisons pour permettre au parlement de bien jouer son rôle», a-t-il souligné.
K.H