Les 16 et 17 novembre 2012, le Syndicat national des médecins privés de Côte d’Ivoire (SYNAMEPCI), en collaboration avec la structure de communication ULTRACOM, organisera la première édition des journées « carrière du médecin libéral » avec pour thème : « Droit à la santé et médecine libérale ». Bakayoko Sidick, président du SYNAMEPCI a indiqué récemment, au cours d’une conférence de presse, les objectifs de cet évènement. Ces journées, a-t-il souligné, visent à faire connaître les innovations techniques en matière de santé, à apporter une contribution critique sur les limites de la formation en matière de gestion dans le cursus médical, à faire connaître aux élèves, aux étudiants, aux médecins et autres partenaires du système de santé, les orientations qu’offre le secteur privé de la santé, à initier une adéquation formation-emploi aux métiers de la médecine libérale et à intégrer les procédés d’assurance qualité et d’excellence dans les pratiques de la médecine en général et du secteur privé de la santé en particulier.
Pour Bakayoko Sidick, ces rencontres s’avèrent importantes au regard de la détérioration de l’environnement du secteur privé de la santé, après plus de dix ans de crise. Malgré tout, fait remarquer le président du SYNAMEPCI, le secteur sanitaire privé contribue à près de 40% de l’offre des soins et constitue un recours inestimable en matière de plateau technique de pointe en Côte d’Ivoire. « Cependant, cette offre de soins relativement inaccessible financièrement à la majorité de la population, est par ailleurs mal connue », a déploré Bakayoko Sidick. Le SYNAMEPCI, créé en 1993, regroupe des centaines de médecins libéraux et a pour but la promotion de leurs intérêts matériels, professionnels et moraux, mais aussi la promotion d’une médecine de qualité.
R.D
Pour Bakayoko Sidick, ces rencontres s’avèrent importantes au regard de la détérioration de l’environnement du secteur privé de la santé, après plus de dix ans de crise. Malgré tout, fait remarquer le président du SYNAMEPCI, le secteur sanitaire privé contribue à près de 40% de l’offre des soins et constitue un recours inestimable en matière de plateau technique de pointe en Côte d’Ivoire. « Cependant, cette offre de soins relativement inaccessible financièrement à la majorité de la population, est par ailleurs mal connue », a déploré Bakayoko Sidick. Le SYNAMEPCI, créé en 1993, regroupe des centaines de médecins libéraux et a pour but la promotion de leurs intérêts matériels, professionnels et moraux, mais aussi la promotion d’une médecine de qualité.
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