Le conseil des ministres s’est réuni, hier, au palais de la présidence, au Plateau sous la présidence du chef de l’Etat, Alassane Ouattara. Au nombre des décisions prises, on note le prix bord champ du cacao fixé à 725 FCFA et le budget de l’Etat fixé à 3814 milliards FCFA. En outre le gouvernement a élaboré un plan d’investissement public (PIP) dont le coût a été fixé à 4818 milliards FCFA.
Selon le porte-parole du gouvernement, le ministre Koné Bruno, sur ces 4818 milliards FCFA ; 3392,8 milliards FCFA ont été déjà mobilisés. Le gouvernement Ouattara n’aura donc plus qu’à trouver 1627,2 milliards FCFA. Une autre décision prise par le gouvernement est le fait d’avoir fixé l’ouverture de la campagne café-cacao à ce mercredi 3 octobre.
Selon le porte-parole du gouvernement, le prix bord champ représente 60% du prix sur le marché international. Le constat qui s’impose à tout observateur est que le prix bord champ a chuté de façon considérable sous Alassane Ouattara. Contrairement au régime Gbagbo où il «était fixé à 1100 FCFA. Pourtant le chef de l’Etat avait promis des lendemains meilleurs aux paysans. Ce prix déjà dérisoire, sera-t-il au moins respecté?
Le conseil des ministres a également adopté un projet de décret portant réforme de l’Office de commercialisation des produits vivriers (OCPV). A en croire le ministre Koné Bruno, cette réforme permettra à cet établissement de jouer pleinement son rôle de façon efficiente.
Boga Sivori
Selon le porte-parole du gouvernement, le ministre Koné Bruno, sur ces 4818 milliards FCFA ; 3392,8 milliards FCFA ont été déjà mobilisés. Le gouvernement Ouattara n’aura donc plus qu’à trouver 1627,2 milliards FCFA. Une autre décision prise par le gouvernement est le fait d’avoir fixé l’ouverture de la campagne café-cacao à ce mercredi 3 octobre.
Selon le porte-parole du gouvernement, le prix bord champ représente 60% du prix sur le marché international. Le constat qui s’impose à tout observateur est que le prix bord champ a chuté de façon considérable sous Alassane Ouattara. Contrairement au régime Gbagbo où il «était fixé à 1100 FCFA. Pourtant le chef de l’Etat avait promis des lendemains meilleurs aux paysans. Ce prix déjà dérisoire, sera-t-il au moins respecté?
Le conseil des ministres a également adopté un projet de décret portant réforme de l’Office de commercialisation des produits vivriers (OCPV). A en croire le ministre Koné Bruno, cette réforme permettra à cet établissement de jouer pleinement son rôle de façon efficiente.
Boga Sivori