Accessibilité à tous à des soins de qualité et abordables, en prenant en compte la taille de la population couverte, accessibilité financière et géographique des services couverts, le degré de couverture des coûts d’un ensemble de prestations et la qualité des services couverts ainsi que leur niveau d’adaptation aux besoins.
Ce sont ces différentes raisons qui motivent le gouvernement ivoirien dans sa décision de faire de la couverture universelle une réalité. Un fait qui implique, selon le Pr N’Dri Yoman Thérèse, ministre de la Santé et de la Lutte contre le Sida, « la mise en place d’un système de financement de la santé optimale pour promouvoir et soutenir la santé et rendre meilleur l’accès aux services de santé en matière de promotion, de prévention, de traitement et de rééducation ».
C’est pourquoi, lors du lancement de l’atelier national de réflexion sur le financement de la santé et l’offre de soins pour tendre vers la couverture universelle, le lundi 8 octobre, au CRRAE, le Pr N’Dri Yoman Thérèse a salué ladite initiative, en présence du ministre d’Etat, ministre de l’Emploi, des Affaires sociales et de la Solidarité, Gilbert Kafana Koné, représentant le Premier ministre, Jeannot Ahoussou Kouadio. Selon elle, « le financement est un des piliers fondamentaux du système de santé. Sans financement, il est impossible à un Etat quelque soit son degré de développement de répondre aux besoins sanitaires les plus élémentaires de ses populations ».
Mme N’Dri Yoman Thérèse a reconnu que l’Etat, pour la réalisation de la couverture universelle « doit aussi être capable de disposer des fonds et établir des incitations financières pour les prestataires, afin de s’assurer que tous les individus aient accès à un système de santé efficace et à des soins de santé de qualité », avant de soutenir que « cela sous-entend une couverture sanitaire adéquate aussi bien en infrastructures, en équipements, en plateaux techniques, qu’en ressources humaines de la santé de qualité et équitablement, réparties sur l’ensemble du territoire, en prestations de qualité ».
Elle a donc invité les différents participants à cet atelier à « faire des recommandations très pertinentes, pour permettre au gouvernement de faire premièrement, le meilleur choix du mécanisme de financement adapté à notre environnement et deuxièmement de faire les choix des prestations à offrir à nos populations ».
J. CESAR
Ce sont ces différentes raisons qui motivent le gouvernement ivoirien dans sa décision de faire de la couverture universelle une réalité. Un fait qui implique, selon le Pr N’Dri Yoman Thérèse, ministre de la Santé et de la Lutte contre le Sida, « la mise en place d’un système de financement de la santé optimale pour promouvoir et soutenir la santé et rendre meilleur l’accès aux services de santé en matière de promotion, de prévention, de traitement et de rééducation ».
C’est pourquoi, lors du lancement de l’atelier national de réflexion sur le financement de la santé et l’offre de soins pour tendre vers la couverture universelle, le lundi 8 octobre, au CRRAE, le Pr N’Dri Yoman Thérèse a salué ladite initiative, en présence du ministre d’Etat, ministre de l’Emploi, des Affaires sociales et de la Solidarité, Gilbert Kafana Koné, représentant le Premier ministre, Jeannot Ahoussou Kouadio. Selon elle, « le financement est un des piliers fondamentaux du système de santé. Sans financement, il est impossible à un Etat quelque soit son degré de développement de répondre aux besoins sanitaires les plus élémentaires de ses populations ».
Mme N’Dri Yoman Thérèse a reconnu que l’Etat, pour la réalisation de la couverture universelle « doit aussi être capable de disposer des fonds et établir des incitations financières pour les prestataires, afin de s’assurer que tous les individus aient accès à un système de santé efficace et à des soins de santé de qualité », avant de soutenir que « cela sous-entend une couverture sanitaire adéquate aussi bien en infrastructures, en équipements, en plateaux techniques, qu’en ressources humaines de la santé de qualité et équitablement, réparties sur l’ensemble du territoire, en prestations de qualité ».
Elle a donc invité les différents participants à cet atelier à « faire des recommandations très pertinentes, pour permettre au gouvernement de faire premièrement, le meilleur choix du mécanisme de financement adapté à notre environnement et deuxièmement de faire les choix des prestations à offrir à nos populations ».
J. CESAR