La journée mondiale de la santé mentale a été célébrée le mercredi 10 octobre 2012. Le ministère de la Santé et de la Lutte contre le Sida à travers le Programme national de santé mentale, a commémoré cette journée à l’Institut national de formation des agents de santé (INFAS), à Treichville, autour du thème : « La dépression : Une crise mondiale ».
Pour le professeur Amonkou Antoine, représentant la ministre de la Santé et de la Lutte contre le Sida, ce thème interpelle sur l’importance de la souffrance psychologique des populations perturbées tant par les crises que par la perte des repères culturels et expose ainsi à un risque accru de survenue de maladie mentale. « Les tristes évènements des années 2010 et 2011 sont là pour nous rappeler non seulement la fragilité de notre existence mais aussi les risques psychiques que les évènements de la vie nous font courir », a-t-il indiqué. Avant de sensibiliser l’ensemble des acteurs et partenaires du système sanitaire sur l’importance de la prévention et de la prise en charge de la dépression dans une dynamique de promotion de la santé mentale.
Dr Allaranga Yokouidé, représentant résident de l’Organisation mondiale de la santé (OMS) en Côte d’Ivoire, s’est offusqué du fait que moins de 2% des dépenses sont consacrés à la santé mentale. Il a invité les Etats à accroître leur investissement dans ce sens pour une meilleure prise en charge des malades. Une personne sur quatre constitue un problème de santé mentale. Plus de 75% des cas sont liés à des prises de médicaments.
Et environ 25 millions qui en souffrent vivent dans des pays en voie de développement. En Côte d’Ivoire, la dépression représente environ 20% des consultations des services de psychiatrie adultes et 10% des cas suivis en psychiatrie de l’enfant.
R.D
Pour le professeur Amonkou Antoine, représentant la ministre de la Santé et de la Lutte contre le Sida, ce thème interpelle sur l’importance de la souffrance psychologique des populations perturbées tant par les crises que par la perte des repères culturels et expose ainsi à un risque accru de survenue de maladie mentale. « Les tristes évènements des années 2010 et 2011 sont là pour nous rappeler non seulement la fragilité de notre existence mais aussi les risques psychiques que les évènements de la vie nous font courir », a-t-il indiqué. Avant de sensibiliser l’ensemble des acteurs et partenaires du système sanitaire sur l’importance de la prévention et de la prise en charge de la dépression dans une dynamique de promotion de la santé mentale.
Dr Allaranga Yokouidé, représentant résident de l’Organisation mondiale de la santé (OMS) en Côte d’Ivoire, s’est offusqué du fait que moins de 2% des dépenses sont consacrés à la santé mentale. Il a invité les Etats à accroître leur investissement dans ce sens pour une meilleure prise en charge des malades. Une personne sur quatre constitue un problème de santé mentale. Plus de 75% des cas sont liés à des prises de médicaments.
Et environ 25 millions qui en souffrent vivent dans des pays en voie de développement. En Côte d’Ivoire, la dépression représente environ 20% des consultations des services de psychiatrie adultes et 10% des cas suivis en psychiatrie de l’enfant.
R.D