Kinshasa, Le ministre Maurice Bandaman a sollicité, jeudi, à la conférence des ministres de la Francophonie, à Kinshasa, l’organisation par la Côte d’Ivoire des 18èmes jeux et de la prochaine conférence ministérielle de la Francophonie.
« Mon pays souhaite avoir l’appui de tous pour accueillir les XVIII èmes jeux de la Francophonie en 2017 et abriter en 2013 notre prochaine conférence ministérielle de la Francophonie », a déclaré le ministre ivoirien de la Culture et de la Francophonie.
Il a déclaré devant ses pairs des autres Etats membres que la Côte d’Ivoire est aujourd’hui à jour de ses cotisations et même en avance après huit années d’arriérés cumulés en raison de la longue crise.
« La Côte d’Ivoire veut assumer toute sa francophonie et toute sa francophilie », a affirmé Maurice Bandaman, se félicitant du retour de son pays dans « la grande famille de la Francophonie » après plus de 10 ans d’absence.
« C’est dire toute la joie et le bonheur qu’éprouvent la Côte d’Ivoire et son président, Alassane Ouattara, de retrouver la grande famille de la Francophonie », a déclaré le ministre, annonçant que son pays « appuie et soutient le projet de Déclaration de Kinshasa » qui sera soumis à l’adoption, samedi, par les présidents et chefs de gouvernement des quelque 70 Etats membres prenant part au 14ème Sommet de la Francophonie.
Saluant le renforcement des engagements des pays membres sur les enjeux environnementaux, économiques, de la bonne gouvernance, des droits de l’homme, de la promotion de la langue française, de l’éducation et de la diversité, le ministre de la Culture et de la Francophonie a déploré le faible accent mis sur le genre dans la gouvernance.
« Il serait souhaitable que la Déclaration de Kinshasa mentionne un paragraphe sur la Francophonie et la femme dans la gouvernance », a proposé le délégué de la Côte d’Ivoire à la conférence ministérielle en cette journée mondiale de la jeune fille.
Le 14ème sommet qui s’ouvrira en présence du président ivoirien et en exercice de la Cedeao, Alassane Ouattara, a pour thème « Francophonie, enjeux environnementaux et économiques face à la gouvernance mondiale ».
(AIP)
kp
« Mon pays souhaite avoir l’appui de tous pour accueillir les XVIII èmes jeux de la Francophonie en 2017 et abriter en 2013 notre prochaine conférence ministérielle de la Francophonie », a déclaré le ministre ivoirien de la Culture et de la Francophonie.
Il a déclaré devant ses pairs des autres Etats membres que la Côte d’Ivoire est aujourd’hui à jour de ses cotisations et même en avance après huit années d’arriérés cumulés en raison de la longue crise.
« La Côte d’Ivoire veut assumer toute sa francophonie et toute sa francophilie », a affirmé Maurice Bandaman, se félicitant du retour de son pays dans « la grande famille de la Francophonie » après plus de 10 ans d’absence.
« C’est dire toute la joie et le bonheur qu’éprouvent la Côte d’Ivoire et son président, Alassane Ouattara, de retrouver la grande famille de la Francophonie », a déclaré le ministre, annonçant que son pays « appuie et soutient le projet de Déclaration de Kinshasa » qui sera soumis à l’adoption, samedi, par les présidents et chefs de gouvernement des quelque 70 Etats membres prenant part au 14ème Sommet de la Francophonie.
Saluant le renforcement des engagements des pays membres sur les enjeux environnementaux, économiques, de la bonne gouvernance, des droits de l’homme, de la promotion de la langue française, de l’éducation et de la diversité, le ministre de la Culture et de la Francophonie a déploré le faible accent mis sur le genre dans la gouvernance.
« Il serait souhaitable que la Déclaration de Kinshasa mentionne un paragraphe sur la Francophonie et la femme dans la gouvernance », a proposé le délégué de la Côte d’Ivoire à la conférence ministérielle en cette journée mondiale de la jeune fille.
Le 14ème sommet qui s’ouvrira en présence du président ivoirien et en exercice de la Cedeao, Alassane Ouattara, a pour thème « Francophonie, enjeux environnementaux et économiques face à la gouvernance mondiale ».
(AIP)
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