Kinshasa, le président français exhorte les africains à renforcer leur place dans la mondialisation en lui donnant une finalité plus humaine.
« Votre défi, c’est de renforcer la place de votre continent dans la mondialisation, de lui donner une finalité humaine », a recommandé François Hollande dans son adresse aux députés sénégalais à l’occasion de première visite officielle à Dakar depuis son élection en mai 2012.
Pour le président français, aucun enjeu planétaire ne pourra être désormais traité sans l’Afrique.
« C’est vers cette Afrique de demain que je regarde en venant ici au Sénégal », a déclaré le président Hollande devant le parlement sénégalais, demandant aux africains de ne pas avoir peur de cet « intérêt nouveau ». Il a toutefois conditionné ce nouveau défi du continent par la démocratie qui, sans être une panacée, permet un « vrai développement économique, un vrai progrès social ».
« Je ne suis pas venu en Afrique pour imposer un exemple, ni pour délivrer des leçons de morale », a rassuré le président français tout en considérant les Africains comme des partenaires et des amis.
« L’amitié crée des devoirs : le premier d’entre eux est la sincérité. Nous devons nous parler librement. Nous devons tout nous dire, sans ingérence, mais avec exigence », a-t-il ajouté.
François Hollande qui pense que le respect des droits de l’homme, l’égalité devant la loi, la garantie de l’alternance, les droits des minorités, la liberté religieuse sont autant de valeurs universelles doivent s’épanouir dans toute l’Afrique, participe à Kinshasa, en RDC, au 14ème sommet de l’Organisation internationale de la Francophonie, aux côtés d’une vingtaine de chefs d’Etat et de gouvernement issus de tous les continents.
(AIP)
kp
« Votre défi, c’est de renforcer la place de votre continent dans la mondialisation, de lui donner une finalité humaine », a recommandé François Hollande dans son adresse aux députés sénégalais à l’occasion de première visite officielle à Dakar depuis son élection en mai 2012.
Pour le président français, aucun enjeu planétaire ne pourra être désormais traité sans l’Afrique.
« C’est vers cette Afrique de demain que je regarde en venant ici au Sénégal », a déclaré le président Hollande devant le parlement sénégalais, demandant aux africains de ne pas avoir peur de cet « intérêt nouveau ». Il a toutefois conditionné ce nouveau défi du continent par la démocratie qui, sans être une panacée, permet un « vrai développement économique, un vrai progrès social ».
« Je ne suis pas venu en Afrique pour imposer un exemple, ni pour délivrer des leçons de morale », a rassuré le président français tout en considérant les Africains comme des partenaires et des amis.
« L’amitié crée des devoirs : le premier d’entre eux est la sincérité. Nous devons nous parler librement. Nous devons tout nous dire, sans ingérence, mais avec exigence », a-t-il ajouté.
François Hollande qui pense que le respect des droits de l’homme, l’égalité devant la loi, la garantie de l’alternance, les droits des minorités, la liberté religieuse sont autant de valeurs universelles doivent s’épanouir dans toute l’Afrique, participe à Kinshasa, en RDC, au 14ème sommet de l’Organisation internationale de la Francophonie, aux côtés d’une vingtaine de chefs d’Etat et de gouvernement issus de tous les continents.
(AIP)
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