Les journaux ivoiriens sont encore revenus dans leur livraison de mercredi sur l'attaque de la ville de Bonoua et de la centrale thermique d'Azioto survenue dans la nuit de dimanche à lundi dernier, mettant un accent particulier sur l'opération de déguerpissement des commerçants qui a viré à un affrontement armé.
''Le pouvoir fait face à son monstre'', écrit le Temps, faisant référence aux déguerpissements des commerçants et transporteurs à Abobo.
''Abobo, bagdad city, ça suffit'', clame à sa Une l'Intelligent d'Abidjan, là où le Courrier d'Abidjan dénonce une ''poudrière à ciel ouvert'' à Abobo. ''La Côte d'Ivoire est ingouvernable'' conclut ce journal. ''Attaque d'Azito, un auto-coup de Ouattara'', affiche, pour sa part, LG Infos.
''Attaque d'Azito, comment les assaillants ont trompé la vigilance des FRCI?'', titre le Jour Plus, faisant des révélations sur des mouvements ''suspects'' à Yopougon.
Après les attaques de Bonoua et d'Azito, les pro-Gbagbo tiennent à brûler le pays, selon le Patriote qui ajoute qu’il faut donc les surveiller de très près.
Notre Voie annonce à sa Une que l'attaque de Bonoua, Samo et d'Azito livre ses secrets. ''Ouattara attaqué par ses propres combattants'', soutient ce journal qui s'appuie sur les aveux du ministre délégué à la défense, Paul Koffi Koffi faisant état de l'arrestation de certains soldats des Forces républicaines de Côte d'Ivoire (FRCI).
L'Expression croit savoir la manière dont l'attaque de Bonoua et d'Azito a été montée.
''FRCI, il y a danger'', alerte Soir Info à sa Une, ajoutant que les Dozos (chasseurs traditionnels) ont été sommés de quitter Bonoua. Pour ce confrère le chef de l'Etat Alassane Ouattara est décidé à faire front. Soir Info présente dans ses colonnes les moyens dont il dipose.
S'agissant du rapport de l'ONU, l'Inter titre que la France met en doute ce rapport. ''Trois jours après l'attaque d'Azito livre ses secrets'', poursuit ce quotidien.
LS/cat/APA
''Le pouvoir fait face à son monstre'', écrit le Temps, faisant référence aux déguerpissements des commerçants et transporteurs à Abobo.
''Abobo, bagdad city, ça suffit'', clame à sa Une l'Intelligent d'Abidjan, là où le Courrier d'Abidjan dénonce une ''poudrière à ciel ouvert'' à Abobo. ''La Côte d'Ivoire est ingouvernable'' conclut ce journal. ''Attaque d'Azito, un auto-coup de Ouattara'', affiche, pour sa part, LG Infos.
''Attaque d'Azito, comment les assaillants ont trompé la vigilance des FRCI?'', titre le Jour Plus, faisant des révélations sur des mouvements ''suspects'' à Yopougon.
Après les attaques de Bonoua et d'Azito, les pro-Gbagbo tiennent à brûler le pays, selon le Patriote qui ajoute qu’il faut donc les surveiller de très près.
Notre Voie annonce à sa Une que l'attaque de Bonoua, Samo et d'Azito livre ses secrets. ''Ouattara attaqué par ses propres combattants'', soutient ce journal qui s'appuie sur les aveux du ministre délégué à la défense, Paul Koffi Koffi faisant état de l'arrestation de certains soldats des Forces républicaines de Côte d'Ivoire (FRCI).
L'Expression croit savoir la manière dont l'attaque de Bonoua et d'Azito a été montée.
''FRCI, il y a danger'', alerte Soir Info à sa Une, ajoutant que les Dozos (chasseurs traditionnels) ont été sommés de quitter Bonoua. Pour ce confrère le chef de l'Etat Alassane Ouattara est décidé à faire front. Soir Info présente dans ses colonnes les moyens dont il dipose.
S'agissant du rapport de l'ONU, l'Inter titre que la France met en doute ce rapport. ''Trois jours après l'attaque d'Azito livre ses secrets'', poursuit ce quotidien.
LS/cat/APA
