La Banque mondiale et sa filiale SFI (Société financière internationale) viennent de mettre fin au débat se rapportant à la gouvernance. Ces deux institutions ont, dans le dernier rapport- sur Doing Business 2013, reconnu les efforts déployés par les autorités ivoiriennes.
Dans son édition 2012, l’Indice Ibrahim de la gouvernance en Afrique (IIAG) a présenté la Côte d’Ivoire comme étant un pays où des efforts importants restent à faire en matière de gouvernance sur le continent africain, eu égard au mauvais score d’indices de performance enregistré. Ainsi la situation a été présentée comme suivent : la Côte d’Ivoire enregistre un score de 39 (sur 100) pour la gouvernance globale. Un score inférieur à la moyenne régionale de l’Afrique de l’Ouest (52) et inférieur à la moyenne continentale (51). •La Côte d’Ivoire enregistre son score le plus élevé dans la catégorie Développement humain (47) et son score le plus faible dans la catégorie Participation et droits de l’homme (32). Au niveau des sous-catégories, la Côte d’Ivoire obtient son meilleur classement (17e) en Infrastructures et son moins bon en Parité (49e). Le score global de la Côte d’Ivoire s’est amélioré entre 2000 et 2011. •Scores de la Côte d’Ivoire par catégorie et sous-catégorie. Cette situation alarmante, n’a laissé pas le président de la Chambre de Commerce et d’Industrie de Côte d’Ivoire, Jean-Louis Billon indifférent. Pour lui, cela n’est pas étonnant, eu égard à certains comportements et agissements qui ont refait surface, en dépit des appels incessants en vue de la facilitation de l’environnement des affaires. Sans toutefois remettre en cause l’Indice Ibrahim de la gouvernance en Afrique, la Banque mondiale et sa filiale SFI (Société financière internationale) relèvent dans leur rapport sur Doing Business 2013 des avancées notables en Côte d’Ivoire en matière de gouvernance, même si beaucoup reste à faire pour permettre aux économies africaines de bâtir un secteur privé robuste et compétitif. Le rapport précise que l’Ile Maurice et l’Afrique du Sud sont les seules économies africaines figurant parmi les 40 premières à l’échelle mondiale. Parmi les économies africaines qui se sont le plus améliorées depuis 2005, se trouvent le Rwanda, le Burkina Faso, le Mali, la Sierra Leone, le Ghana, le Burundi, la Guinée-Bissau, le Sénégal, l’Angola, l’Île Maurice, Madagascar, le Mozambique, la Côte d’Ivoire, le Togo, le Niger, le Nigeria, Sao Tomé et Principe. Et comme l’on peut le constater, la Côte d’Ivoire occupe une place honorable, selon le rapport de Doing Business 2013 par rapport à l’Indice Ibrahim de la gouvernance en Afrique.
La preuve que des efforts sont faits pour garantir l’environnement des affaires à l’investissement et les partenaires extérieurs. «Nous trouvons très encourageant que tant d’économies en Afrique figurent parmi les 50 qui se sont le plus améliorées depuis 2005, selon les indicateurs Doing Business», se réjouit Augusto Lopez-Claros, Directeur de l’unité de recherche sur les indicateurs et analyse du Groupe de la Banque mondiale. Singapour arrive en tête du classement mondial sur la facilité de faire des affaires pour la septième année consécutive. La liste du top 10 comprend aussi la RAS de Hong Kong, Chine, la Nouvelle-Zélande, les États-Unis; le Danemark, la Norvège; la Grande Bretagne; la République de Corée, la Géorgie et l'Australie.
HK
Dans son édition 2012, l’Indice Ibrahim de la gouvernance en Afrique (IIAG) a présenté la Côte d’Ivoire comme étant un pays où des efforts importants restent à faire en matière de gouvernance sur le continent africain, eu égard au mauvais score d’indices de performance enregistré. Ainsi la situation a été présentée comme suivent : la Côte d’Ivoire enregistre un score de 39 (sur 100) pour la gouvernance globale. Un score inférieur à la moyenne régionale de l’Afrique de l’Ouest (52) et inférieur à la moyenne continentale (51). •La Côte d’Ivoire enregistre son score le plus élevé dans la catégorie Développement humain (47) et son score le plus faible dans la catégorie Participation et droits de l’homme (32). Au niveau des sous-catégories, la Côte d’Ivoire obtient son meilleur classement (17e) en Infrastructures et son moins bon en Parité (49e). Le score global de la Côte d’Ivoire s’est amélioré entre 2000 et 2011. •Scores de la Côte d’Ivoire par catégorie et sous-catégorie. Cette situation alarmante, n’a laissé pas le président de la Chambre de Commerce et d’Industrie de Côte d’Ivoire, Jean-Louis Billon indifférent. Pour lui, cela n’est pas étonnant, eu égard à certains comportements et agissements qui ont refait surface, en dépit des appels incessants en vue de la facilitation de l’environnement des affaires. Sans toutefois remettre en cause l’Indice Ibrahim de la gouvernance en Afrique, la Banque mondiale et sa filiale SFI (Société financière internationale) relèvent dans leur rapport sur Doing Business 2013 des avancées notables en Côte d’Ivoire en matière de gouvernance, même si beaucoup reste à faire pour permettre aux économies africaines de bâtir un secteur privé robuste et compétitif. Le rapport précise que l’Ile Maurice et l’Afrique du Sud sont les seules économies africaines figurant parmi les 40 premières à l’échelle mondiale. Parmi les économies africaines qui se sont le plus améliorées depuis 2005, se trouvent le Rwanda, le Burkina Faso, le Mali, la Sierra Leone, le Ghana, le Burundi, la Guinée-Bissau, le Sénégal, l’Angola, l’Île Maurice, Madagascar, le Mozambique, la Côte d’Ivoire, le Togo, le Niger, le Nigeria, Sao Tomé et Principe. Et comme l’on peut le constater, la Côte d’Ivoire occupe une place honorable, selon le rapport de Doing Business 2013 par rapport à l’Indice Ibrahim de la gouvernance en Afrique.
La preuve que des efforts sont faits pour garantir l’environnement des affaires à l’investissement et les partenaires extérieurs. «Nous trouvons très encourageant que tant d’économies en Afrique figurent parmi les 50 qui se sont le plus améliorées depuis 2005, selon les indicateurs Doing Business», se réjouit Augusto Lopez-Claros, Directeur de l’unité de recherche sur les indicateurs et analyse du Groupe de la Banque mondiale. Singapour arrive en tête du classement mondial sur la facilité de faire des affaires pour la septième année consécutive. La liste du top 10 comprend aussi la RAS de Hong Kong, Chine, la Nouvelle-Zélande, les États-Unis; le Danemark, la Norvège; la Grande Bretagne; la République de Corée, la Géorgie et l'Australie.
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