ABIDJAN - Le représentant spécial du secrétaire général de l'ONU en Côte d'Ivoire Albert Koenders a invité jeudi à Abidjan les étudiants ivoiriens à pratiquer la " tolérance active" en favorisant le dialogue.
M. Koenders qui intervenait lors d'un échange sur le campus universitaire, a exhorté les étudiants à adopter des comportements qui contribuent à l'émergence d'une culture de la paix dans le pays.
"Vous avez la capacité de vous constituer en acteur clé de la promotion de cette culture de paix, et de contribuer à l'appropriation, par tous les Ivoiriens des valeurs démocratiques fondées sur la tolérance, le dialogue et le respect de l'autre", a lancé le numéro un de l'ONUCI.
"Vous comptez aujourd'hui parmi les groupes émergents qui peuvent véritablement capturer la croissance grâce aux technologies, à la transformation agricole ou encore à la science", a-t-il ajouté, en exhortant ceux-ci à relever le défi de leur génération.
Pour Albert Koenders, les étudiants ivoiriens doivent être des partisans et des promoteurs des valeurs démocratiques basées sur la tolérance et le pardon.
M. Koenders a par ailleurs expliqué les missions de l'Opération des Nations-Unies en Côte d'Ivoire (ONUCI) dont la promotion de la réconciliation et de la cohésion sociale constitue l'un des piliers.
Pour celui-ci, la mission onusienne oeuvre dans le pays pour tous les Ivoiriens, sans discrimination, et les étudiants peuvent contribuer à la mise en oeuvre de la feuille de route adressée à tous les acteurs impliqués dans le processus de sortie de crise durable.
Le chef de la mission onusienne en Côte d'Ivoire a par ailleurs relevé les progrès enregistrés dans le pays sur la voie de la stabilisation, de la reconstruction et de la relance économique depuis la crise post électorale.
"La Côte d'Ivoire est maintenant dans une phase capitale du processus de transition", a-t-il noté.
La Côte d'Ivoire tente de retrouver la normalité après une crise post-électorale qui a secoué le pays cinq mois durant, faisant au moins 3 000 morts et un million de déplacés.
A plusieurs occasions, les autorités du pays et l'ONU ont invité toutes les couches sociales du pays à s'impliquer dans le processus de reconstruction et de réconciliation nationale.
M. Koenders qui intervenait lors d'un échange sur le campus universitaire, a exhorté les étudiants à adopter des comportements qui contribuent à l'émergence d'une culture de la paix dans le pays.
"Vous avez la capacité de vous constituer en acteur clé de la promotion de cette culture de paix, et de contribuer à l'appropriation, par tous les Ivoiriens des valeurs démocratiques fondées sur la tolérance, le dialogue et le respect de l'autre", a lancé le numéro un de l'ONUCI.
"Vous comptez aujourd'hui parmi les groupes émergents qui peuvent véritablement capturer la croissance grâce aux technologies, à la transformation agricole ou encore à la science", a-t-il ajouté, en exhortant ceux-ci à relever le défi de leur génération.
Pour Albert Koenders, les étudiants ivoiriens doivent être des partisans et des promoteurs des valeurs démocratiques basées sur la tolérance et le pardon.
M. Koenders a par ailleurs expliqué les missions de l'Opération des Nations-Unies en Côte d'Ivoire (ONUCI) dont la promotion de la réconciliation et de la cohésion sociale constitue l'un des piliers.
Pour celui-ci, la mission onusienne oeuvre dans le pays pour tous les Ivoiriens, sans discrimination, et les étudiants peuvent contribuer à la mise en oeuvre de la feuille de route adressée à tous les acteurs impliqués dans le processus de sortie de crise durable.
Le chef de la mission onusienne en Côte d'Ivoire a par ailleurs relevé les progrès enregistrés dans le pays sur la voie de la stabilisation, de la reconstruction et de la relance économique depuis la crise post électorale.
"La Côte d'Ivoire est maintenant dans une phase capitale du processus de transition", a-t-il noté.
La Côte d'Ivoire tente de retrouver la normalité après une crise post-électorale qui a secoué le pays cinq mois durant, faisant au moins 3 000 morts et un million de déplacés.
A plusieurs occasions, les autorités du pays et l'ONU ont invité toutes les couches sociales du pays à s'impliquer dans le processus de reconstruction et de réconciliation nationale.