La ville de Grand-Bassam abrite du 2 au 3 novembre 2012, un séminaire sous-régional sur le thème : «Mise en œuvre du mémorandum d’entente relatif au réseau inatégré de la fonction garde-côte de la zone II ». La cérémonie d’ouverture du vendredi 2 novembre s’est tenue en présence des délégations venues du Ghana, du Libéria, de la Guinée, de la Sierra-Léone et de la Côte d’Ivoire.
C’est M. Diabaté Moussa, représentant le ministre des Transports qui a justifié la tenue dudit séminaire. Il a indiqué que les pays de la zone II cités, par ces assises, veulent fédérer les énergies et moyens afin de venir à bout des menaces récurrentes de sécurité et de sûreté maritimes. Selon lui, l’importance des moyens requis pour la surveillance de nos eaux et l’état embryonnaire de nos administrations maritimes ne permettent pas à chacun de nos Etats d’assumer individuellement cette mission. Pourtant nos eaux sont exposées à toutes lesformes d’agressions dont les plus connues sont la piraterie, les vols à main armée contre les navires et les plateformes off shore, la pêche illicite, l’immigration clandestine, les trafics humains ainsi que la pollution. Pour faire face à cette situation, les Etats membres de l’organisation maritime de l’Afrique de l’Ouest et du Centre (Omaoc) ont adopté en 2006 à Dakar, un système intégré de garde-côtes en vue de mutualiser leurs moyens d’intervention en mer. L’objectif général du séminaire est de réaliser le bilan de la mise en œuvre du système intégré de garde-côtes dans les pays de la zone II. De façon spécifique, il s’agira, entre autres, de sensibiliser les pays qui ne l’ont pas encore fait, à signer le mémorandum, d’évaluer la mise en œuvre du système dans chaque Etat, définir les actions à mener pour la mise en place du Centre de Coordination…
Olivier Guédé
C’est M. Diabaté Moussa, représentant le ministre des Transports qui a justifié la tenue dudit séminaire. Il a indiqué que les pays de la zone II cités, par ces assises, veulent fédérer les énergies et moyens afin de venir à bout des menaces récurrentes de sécurité et de sûreté maritimes. Selon lui, l’importance des moyens requis pour la surveillance de nos eaux et l’état embryonnaire de nos administrations maritimes ne permettent pas à chacun de nos Etats d’assumer individuellement cette mission. Pourtant nos eaux sont exposées à toutes lesformes d’agressions dont les plus connues sont la piraterie, les vols à main armée contre les navires et les plateformes off shore, la pêche illicite, l’immigration clandestine, les trafics humains ainsi que la pollution. Pour faire face à cette situation, les Etats membres de l’organisation maritime de l’Afrique de l’Ouest et du Centre (Omaoc) ont adopté en 2006 à Dakar, un système intégré de garde-côtes en vue de mutualiser leurs moyens d’intervention en mer. L’objectif général du séminaire est de réaliser le bilan de la mise en œuvre du système intégré de garde-côtes dans les pays de la zone II. De façon spécifique, il s’agira, entre autres, de sensibiliser les pays qui ne l’ont pas encore fait, à signer le mémorandum, d’évaluer la mise en œuvre du système dans chaque Etat, définir les actions à mener pour la mise en place du Centre de Coordination…
Olivier Guédé