Sassandra, Les activités touristiques à Sassandra (sud-ouest) sont presqu’inexistantes avec les réceptifs hôteliers et sites touristiques restés à l’abandon depuis plusieurs années.
La région de Sassandra, autrefois prisée pour les nombreux touristes du fait notamment de ses sites balnéaires et autres potentialités est, depuis le début de la crise militaro-politique en Côte d’Ivoire, classée dans les oubliettes.
Les 11 villages-hôtels, sur le long de la côte maritime, dont l’hôtel Polet, un bivouac appartenant à des français, ont été incendiés en 2004 par des manifestants anti-français.
Les plus chanceux ont choisi d’autres destinations plus stables comme le Bénin, le Sénégal.
Les guides touristiques ont aujourd’hui perdu espoir, car la localité de Sassandra dont le tourisme constituait une activité économique importante a changé de visage.
Le chômage persiste chez les jeunes avec son corollaire de regain de banditisme et de prostitution.
Avec le retour progressif de la paix et un climat de sécurité qui se stabilise, les activités touristes et économiques dans la région pourraient reprendre, avec l’implication de l’Etat qui ambitionne d’enregistrer 500.000 touristes par an à l’horizon 2015.
(AIP)
Iv/isk/kp
La région de Sassandra, autrefois prisée pour les nombreux touristes du fait notamment de ses sites balnéaires et autres potentialités est, depuis le début de la crise militaro-politique en Côte d’Ivoire, classée dans les oubliettes.
Les 11 villages-hôtels, sur le long de la côte maritime, dont l’hôtel Polet, un bivouac appartenant à des français, ont été incendiés en 2004 par des manifestants anti-français.
Les plus chanceux ont choisi d’autres destinations plus stables comme le Bénin, le Sénégal.
Les guides touristiques ont aujourd’hui perdu espoir, car la localité de Sassandra dont le tourisme constituait une activité économique importante a changé de visage.
Le chômage persiste chez les jeunes avec son corollaire de regain de banditisme et de prostitution.
Avec le retour progressif de la paix et un climat de sécurité qui se stabilise, les activités touristes et économiques dans la région pourraient reprendre, avec l’implication de l’Etat qui ambitionne d’enregistrer 500.000 touristes par an à l’horizon 2015.
(AIP)
Iv/isk/kp
