Agboville - L’action de ramassage des ordures sur les dépotoirs sauvages de la cité d’Agboville, depuis quelques semaines, est saluée par la population mais inquiète de plus en plus les ménages, a constaté vendredi l’AIP.
« Nous confirmons que c’est bien la mairie qui entreprend le ramassage des ordures », a déclaré un des responsables techniques de la mairie d’Agboville (85 km d’Abidjan). En l'absence du maire, il a indiqué que plusieurs sites sont concernés par cette action qui devrait ramener la propreté dans la cité.
« C’est bien et il y a moins de mouches et donc moins de maladies », a renchéri Alphonse K., instituteur à l’Inspection primaire III d’Agboville. Les acheteurs de cacao, riverains du dépotoir situé non loin de la préfecture, ont aussi salué l’action du maire Assamoi Tetchi Claude.
« Dommage qu’il le fasse en fin de mandat », à déploré dame Kouyaté Oumou, vendeuse de pain. A l’image de plusieurs mères, elles saluent l’action, mais s’inquiètent qu’aucun palliatif n’ait été proposé aux ménages pour le dépôt des ordures au quotidien. « Il n’y a pas encore de poubelles aux carrefours de la ville », fait remarquer une fille de ménage, contrainte d’aller verser les ordures plus de 500 mètres de chez elle.
« Vivement que la mairie organise de toute urgence, le service de pré collecteurs », a insisté N’Tapké Edi, coiffeur à la gare de Rubino. Il s’est dit prêt à payer une modique somme chaque jour, car il est impossible pour la population de se rendre sur un seul site éloigné pour le dépôt des ordures.
« Nous confirmons que c’est bien la mairie qui entreprend le ramassage des ordures », a déclaré un des responsables techniques de la mairie d’Agboville (85 km d’Abidjan). En l'absence du maire, il a indiqué que plusieurs sites sont concernés par cette action qui devrait ramener la propreté dans la cité.
« C’est bien et il y a moins de mouches et donc moins de maladies », a renchéri Alphonse K., instituteur à l’Inspection primaire III d’Agboville. Les acheteurs de cacao, riverains du dépotoir situé non loin de la préfecture, ont aussi salué l’action du maire Assamoi Tetchi Claude.
« Dommage qu’il le fasse en fin de mandat », à déploré dame Kouyaté Oumou, vendeuse de pain. A l’image de plusieurs mères, elles saluent l’action, mais s’inquiètent qu’aucun palliatif n’ait été proposé aux ménages pour le dépôt des ordures au quotidien. « Il n’y a pas encore de poubelles aux carrefours de la ville », fait remarquer une fille de ménage, contrainte d’aller verser les ordures plus de 500 mètres de chez elle.
« Vivement que la mairie organise de toute urgence, le service de pré collecteurs », a insisté N’Tapké Edi, coiffeur à la gare de Rubino. Il s’est dit prêt à payer une modique somme chaque jour, car il est impossible pour la population de se rendre sur un seul site éloigné pour le dépôt des ordures.