Yamoussoukro, cent sept chauffeurs de préfets, venus à Yamoussoukro avec leurs patrons pour le séminaire du ministère de la Salubrité urbaine portant sur le thème :« Désordre urbain et incivisme des populations : quelle responsabilité des préfets ? », ont bruyamment dénoncé leurs mauvaises conditions d’hébergement avant d’être calmés par le préfet de Yamoussoukro, André Assoumou Ekponon.
Ces chauffeurs avaient à cœur de rencontrer la ministre Anne Désirée Oulotto pour dénoncer de vive voix leurs mauvaises conditions d’hébergement et se sont massés à l’entrée de l’hôtel des Parlementaires où se tenait le séminaire, pour réclamer leurs perdiems.
« Nous sommes venus avec nos patrons. Au lieu de nous remettre nos perdiems comme d’habitude afin que nous soyons autonomes du point de vue de l’hébergement et autres besoins, on nous fait dormir au Cafop. Nous sommes hébergés à deux sur des lits d’une place, nous, des pères de famille. En plus, en ce moment, il n’y a pas d’eau dans les toilettes des dortoirs où nous sommes hébergés », ont clamé en chœur, les chauffeurs concernés.
Une intervention du préfet Ekponon a permis de ramener le calme au sein des chauffeurs qui ont libéré l’entrée de l’hôtel quelques instants avant l’arrivée de la ministre de la Salubrité urbaine, Anne Désirée Oulotto.
(AIP)
zgrp/kkp/cmas
Ces chauffeurs avaient à cœur de rencontrer la ministre Anne Désirée Oulotto pour dénoncer de vive voix leurs mauvaises conditions d’hébergement et se sont massés à l’entrée de l’hôtel des Parlementaires où se tenait le séminaire, pour réclamer leurs perdiems.
« Nous sommes venus avec nos patrons. Au lieu de nous remettre nos perdiems comme d’habitude afin que nous soyons autonomes du point de vue de l’hébergement et autres besoins, on nous fait dormir au Cafop. Nous sommes hébergés à deux sur des lits d’une place, nous, des pères de famille. En plus, en ce moment, il n’y a pas d’eau dans les toilettes des dortoirs où nous sommes hébergés », ont clamé en chœur, les chauffeurs concernés.
Une intervention du préfet Ekponon a permis de ramener le calme au sein des chauffeurs qui ont libéré l’entrée de l’hôtel quelques instants avant l’arrivée de la ministre de la Salubrité urbaine, Anne Désirée Oulotto.
(AIP)
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