Le Ministre du Commerce, Monsieur Dagobert Banzio, a procédé le jeudi 08 novembre 2012, à la salle de conférence de la Chambre de Commerce et d’Industrie d’Abidjan, à l’ouverture de la concertation nationale sur la révision du cadre institutionnel de mise en œuvre des règles communautaires de la concurrence de l’UEMOA.
Monsieur Diomandé Adama, chargé de concurrence à la Commission de l’UEMOA, a expliqué l’importance de cette concertation, en ce sens qu’elle doit permettre aux différents acteurs du marché de comprendre le fonctionnement des règles communautaires en matière de concurrence.
Quant à Monsieur Guy Charrier, consultant auprès de la Conférence des Nations Unies pour le Commerce et le Développement (CNUCED), il affirme que cette concertation est utile, car il est important de passer en revue les textes existant afin de les actualiser dix ans après l’adoption de la législation communautaire de la concurrence.
Ce sera également le lieu d’identifier les insuffisances et de proposer des recommandations pertinentes en vue de leur correction.
Prenant la parole, le Ministre du Commerce a salué l’opportunité d’une telle concertation, car selon lui, « cette étude diagnostique vient faire l’état des lieux des textes sur la concurrence, en application dans les Etats, ainsi que les structures qui en ont la charge, évaluer le dispositif régional de mise en œuvre de la politique de concurrence de l’UEMOA et faire ensuite des propositions de réformes au niveau national et régional permettant d’améliorer le cadre institutionnel de mise en œuvre des règles communautaires de concurrence ». Dagobert Banzio n’a pas manqué de préciser qu’un cadre institutionnel amélioré de mise en œuvre des règles communautaires de concurrence est un moteur d’intégration du marché communautaire.
La concertation qui se tient sur deux jours va s’atteler à rendre le cadre institutionnel de mise en œuvre des règles communautaires de concurrence plus performantes dans le cadre de la surveillance du marché. Il est par ailleurs annoncé pour la fin de l’année, l’organisation d’un forum sur la concurrence, à Ouaga.
Le service communication
Monsieur Diomandé Adama, chargé de concurrence à la Commission de l’UEMOA, a expliqué l’importance de cette concertation, en ce sens qu’elle doit permettre aux différents acteurs du marché de comprendre le fonctionnement des règles communautaires en matière de concurrence.
Quant à Monsieur Guy Charrier, consultant auprès de la Conférence des Nations Unies pour le Commerce et le Développement (CNUCED), il affirme que cette concertation est utile, car il est important de passer en revue les textes existant afin de les actualiser dix ans après l’adoption de la législation communautaire de la concurrence.
Ce sera également le lieu d’identifier les insuffisances et de proposer des recommandations pertinentes en vue de leur correction.
Prenant la parole, le Ministre du Commerce a salué l’opportunité d’une telle concertation, car selon lui, « cette étude diagnostique vient faire l’état des lieux des textes sur la concurrence, en application dans les Etats, ainsi que les structures qui en ont la charge, évaluer le dispositif régional de mise en œuvre de la politique de concurrence de l’UEMOA et faire ensuite des propositions de réformes au niveau national et régional permettant d’améliorer le cadre institutionnel de mise en œuvre des règles communautaires de concurrence ». Dagobert Banzio n’a pas manqué de préciser qu’un cadre institutionnel amélioré de mise en œuvre des règles communautaires de concurrence est un moteur d’intégration du marché communautaire.
La concertation qui se tient sur deux jours va s’atteler à rendre le cadre institutionnel de mise en œuvre des règles communautaires de concurrence plus performantes dans le cadre de la surveillance du marché. Il est par ailleurs annoncé pour la fin de l’année, l’organisation d’un forum sur la concurrence, à Ouaga.
Le service communication