Isabelle Kassi Fofana, présidente de l’Association « Akwaba Culture », a participé à la première édition du Prix littéraire dénommé ‘’Prix MOKANDA’’, initié à Brazzaville au Congo. Elle parle de son expérience.
Vous avez séjourné pendant trois (3) jours (du 15 au 17 octobre) à Brazzaville au Congo.
Quel souvenir gardez-vous de votre première participation au concours du Prix littéraire MOKANDA ?
Je me suis sentie honorée de faire partie d’un tel jury, présidé par l’écrivain congolais Henri Lopès lui-même, avec pour membres du jury, des personnalités comme le Pr. Jacques Chevrier, Olivier Barrot (Ndlr un journaliste, écrivain, producteur et animateur de télévision français), Yvan Amar (producteur à Radio-France depuis 1987), etc. Pour rappel, Ananda Devi (Ndlr : née le 23 mars 1957, est une femme de lettres mauriciennes), est la lauréate du 1er Prix MOKANDA, qui veut dire ‘’Lettres’’ en Lingala. Je retiens que j’ai pu approcher la lauréate de ce Prix littéraire qui, pour moi, fait partie des plus grands écrivains Francophones. Son écriture parle à mon âme. Elle a promis venir en Côte d’Ivoire assister à la 6è édition du Prix Ivoire en 2013.
Quelle comparaison pouvez-vous faire de l’engouement des Brazzavillois et vos compatriotes, relativement à la promotion du livre ?
Il est certainement difficile de faire une comparaison après avoir passé seulement trois (3) jours dans un pays. Mais au-delà de l’engouement réel du public, qui est venu nombreux assister à la remise de ce Prix littéraire, je voudrais souligner l’implication du Chef de l’Etat, Denis Sassou N’guesso, qui a reçu toute la délégation, principalement tous les membres du Jury. En plus de la valeur numéraire d’un Prix littéraire, le Prix MOKANDA vaut 10 000 euros, soit environ 6 500 000 F CFA, une telle démarche donne certainement du poids à un Prix littéraire.
Vous avez participé à la journée découverte de la capitale Brazzaville. Vous avez visité plusieurs sites touristiques. Quelles étaient vos impressions ?
Moi, j’ai particulièrement été marquée par le mémorial dédié à Pierre Savorgnan de Brazza, le fondateur de la ville de Brazzaville. J’ai aussi apprécié la vue qu’on a quand on est au bord du fleuve Congo. On voit Kinshasa, c’est incroyable ! Il s’agit là, m’a-t-on dit, des deux capitales les plus proches au monde !
Quel commentaire pouvez-vous faire de l’organisation du Prix littéraire MOKANDA ?
L’organisation du Prix MOKANDA est à saluer. Il faut beaucoup de Prix littéraires pour célébrer nos auteurs, car ils le méritent. Ils nous donnent beaucoup, et je crois que nous nous devons de les primer, de les honorer. Nous n’en ferons jamais assez !
Réalisé par Patrick K.
Vous avez séjourné pendant trois (3) jours (du 15 au 17 octobre) à Brazzaville au Congo.
Quel souvenir gardez-vous de votre première participation au concours du Prix littéraire MOKANDA ?
Je me suis sentie honorée de faire partie d’un tel jury, présidé par l’écrivain congolais Henri Lopès lui-même, avec pour membres du jury, des personnalités comme le Pr. Jacques Chevrier, Olivier Barrot (Ndlr un journaliste, écrivain, producteur et animateur de télévision français), Yvan Amar (producteur à Radio-France depuis 1987), etc. Pour rappel, Ananda Devi (Ndlr : née le 23 mars 1957, est une femme de lettres mauriciennes), est la lauréate du 1er Prix MOKANDA, qui veut dire ‘’Lettres’’ en Lingala. Je retiens que j’ai pu approcher la lauréate de ce Prix littéraire qui, pour moi, fait partie des plus grands écrivains Francophones. Son écriture parle à mon âme. Elle a promis venir en Côte d’Ivoire assister à la 6è édition du Prix Ivoire en 2013.
Quelle comparaison pouvez-vous faire de l’engouement des Brazzavillois et vos compatriotes, relativement à la promotion du livre ?
Il est certainement difficile de faire une comparaison après avoir passé seulement trois (3) jours dans un pays. Mais au-delà de l’engouement réel du public, qui est venu nombreux assister à la remise de ce Prix littéraire, je voudrais souligner l’implication du Chef de l’Etat, Denis Sassou N’guesso, qui a reçu toute la délégation, principalement tous les membres du Jury. En plus de la valeur numéraire d’un Prix littéraire, le Prix MOKANDA vaut 10 000 euros, soit environ 6 500 000 F CFA, une telle démarche donne certainement du poids à un Prix littéraire.
Vous avez participé à la journée découverte de la capitale Brazzaville. Vous avez visité plusieurs sites touristiques. Quelles étaient vos impressions ?
Moi, j’ai particulièrement été marquée par le mémorial dédié à Pierre Savorgnan de Brazza, le fondateur de la ville de Brazzaville. J’ai aussi apprécié la vue qu’on a quand on est au bord du fleuve Congo. On voit Kinshasa, c’est incroyable ! Il s’agit là, m’a-t-on dit, des deux capitales les plus proches au monde !
Quel commentaire pouvez-vous faire de l’organisation du Prix littéraire MOKANDA ?
L’organisation du Prix MOKANDA est à saluer. Il faut beaucoup de Prix littéraires pour célébrer nos auteurs, car ils le méritent. Ils nous donnent beaucoup, et je crois que nous nous devons de les primer, de les honorer. Nous n’en ferons jamais assez !
Réalisé par Patrick K.