Yamoussoukro – Réunie en forum national à Yamoussoukro, jeudi et vendredi, en prélude à la Conférence mondiale sur le cacao prévue du 19 au 23 novembre à Abidjan, l’Union syndicale des paysans de Côte d’Ivoire (USYPACI) a recommandé, entre autres, que les pouvoirs publics tiennent compte des suggestions des syndicats et coopératives agricoles représentatifs lors de la détermination du prix garanti des produits agricoles.
La centaine de paysans réunis à Yamoussoukro a remis, à l’issue du forum, un mémorandum renfermant ses recommandations sur diverses questions relatives au secteur agricole au gouvernement par le biais du préfet de Yamoussoukro, André Assoumou Ekponon.
L’USYPACI recommande, entre autres, à l'Etat de renforcer le système de prix garantis; d’appuyer les producteurs dans leur lutte contre les intermédiaires véreux; d’intensifier la lutte contre le racket; d’assurer l’évolution du système de prix vers celui de la stabilisation de leurs revenus.
Le syndicat des paysans recommande aussi l’accroissement de l’encadrement et l’appui de l’Etat dans l’acquisition d’intrants, en vue d’accroître la quantité et la qualité des produits; d’intensifier la recherche scientifique pour la pérennisation de la culture du cacao; d’améliorer le cadre juridique d’accès des producteurs de café et de cacao, d'anacarde, de coton, d'hévéa, de palmier à huile, de vivriers à la terre, notamment par la réforme de la loi foncière du 23 décembre 1998.
Par ailleurs, l’organisation syndicale des paysans recommande l’institution d’un système d’assurance maladie pour ses membres; la prise de mesures en faveur du développement de la scolarisation et de la réduction de l’analphabétisme en milieu paysan; l'amélioration du réseau routier afin de faciliter la collecte et l’acheminement des produits vers les lieux de commercialisation; la mise en place d'un système de financement des activités de production de cacao.
Selon Kouamé Yao Norbert, membre du bureau exécutif de l’USYPACI, également président du comité d’organisation du forum, il s’agit pour l’Union de réfléchir sur les conditions de travail et de vie des paysans ivoiriens et d’adresser au gouvernement leurs attentes spécifiques au moment où d’importantes décisions vont être prises au sujet de l’économie cacaoyère mondiale à la première Conférence mondiale sur le cacao.
La centaine de paysans réunis à Yamoussoukro a remis, à l’issue du forum, un mémorandum renfermant ses recommandations sur diverses questions relatives au secteur agricole au gouvernement par le biais du préfet de Yamoussoukro, André Assoumou Ekponon.
L’USYPACI recommande, entre autres, à l'Etat de renforcer le système de prix garantis; d’appuyer les producteurs dans leur lutte contre les intermédiaires véreux; d’intensifier la lutte contre le racket; d’assurer l’évolution du système de prix vers celui de la stabilisation de leurs revenus.
Le syndicat des paysans recommande aussi l’accroissement de l’encadrement et l’appui de l’Etat dans l’acquisition d’intrants, en vue d’accroître la quantité et la qualité des produits; d’intensifier la recherche scientifique pour la pérennisation de la culture du cacao; d’améliorer le cadre juridique d’accès des producteurs de café et de cacao, d'anacarde, de coton, d'hévéa, de palmier à huile, de vivriers à la terre, notamment par la réforme de la loi foncière du 23 décembre 1998.
Par ailleurs, l’organisation syndicale des paysans recommande l’institution d’un système d’assurance maladie pour ses membres; la prise de mesures en faveur du développement de la scolarisation et de la réduction de l’analphabétisme en milieu paysan; l'amélioration du réseau routier afin de faciliter la collecte et l’acheminement des produits vers les lieux de commercialisation; la mise en place d'un système de financement des activités de production de cacao.
Selon Kouamé Yao Norbert, membre du bureau exécutif de l’USYPACI, également président du comité d’organisation du forum, il s’agit pour l’Union de réfléchir sur les conditions de travail et de vie des paysans ivoiriens et d’adresser au gouvernement leurs attentes spécifiques au moment où d’importantes décisions vont être prises au sujet de l’économie cacaoyère mondiale à la première Conférence mondiale sur le cacao.