Bouaflé – Le secrétaire local du Mouvement des instituteurs pour la défense de leurs droits (MIDD) de Bouaflé, Botty Bi Yah Théodore se dit déterminé à respecter, avec ses camarades, le mot d’ordre d’arrêt de travail d’une semaine lancé par l’Intersyndicale du secteur éducation et formation (ISEF).
« Nous avons interpelé le gouvernement pour qu’il se penche sur nos revendications mais il n’y a pas eu de réaction favorable », a regretté Botty Bi Théodore, soulignant que la seule manière de se faire entendre du gouvernement est d’observer un arrêt de travail.
Selon le secrétaire local du MIDD, également président local du présidium de l’ISEF, les enseignants de Bouaflé s’organisent pour que cette grève soit largement suivie. « Nous avons fait de nombreuses réunions et tous ceux qui sont signataires du mot d’ordre de grève sont mobilisés », a-t-il fait savoir, lors d'une interview qu'il a accordée vendredi à l'AIP.
La grève qui s’étendra du 19 au 23 novembre, a pour but d’exiger de l’Etat ivoirien le paiement effectif de la deuxième moitié de la bonification indiciaire et le rappel y afférent, celui de la deuxième moitié des effets financiers du reclassement indiciaire et le rappel y afférent et le paiement effectif du reliquat de l’indemnité de logement des instituteurs et le rappel y afférent.
L’ISEF regroupe l’ensemble des enseignants des établissements primaires et secondaires de Côte d’Ivoire.
« Nous avons interpelé le gouvernement pour qu’il se penche sur nos revendications mais il n’y a pas eu de réaction favorable », a regretté Botty Bi Théodore, soulignant que la seule manière de se faire entendre du gouvernement est d’observer un arrêt de travail.
Selon le secrétaire local du MIDD, également président local du présidium de l’ISEF, les enseignants de Bouaflé s’organisent pour que cette grève soit largement suivie. « Nous avons fait de nombreuses réunions et tous ceux qui sont signataires du mot d’ordre de grève sont mobilisés », a-t-il fait savoir, lors d'une interview qu'il a accordée vendredi à l'AIP.
La grève qui s’étendra du 19 au 23 novembre, a pour but d’exiger de l’Etat ivoirien le paiement effectif de la deuxième moitié de la bonification indiciaire et le rappel y afférent, celui de la deuxième moitié des effets financiers du reclassement indiciaire et le rappel y afférent et le paiement effectif du reliquat de l’indemnité de logement des instituteurs et le rappel y afférent.
L’ISEF regroupe l’ensemble des enseignants des établissements primaires et secondaires de Côte d’Ivoire.
