Abidjan – A la veille de l’ouverture officielle des travaux de la première conférence mondiale sur le cacao par le Président Alassane Ouattara, le Premier ministre ivoirien, Me Jeannot Ahoussou-Kouadio a inauguré lundi à l’hôtel Ivoire d’Abidjan, les stands dressés pour l’occasion.
A cette conférence portant sur le thème « Ensemble, pour une économie cacaoyère mondiale durable », un millier de participants sont attendus, notamment des paysans et Etats producteurs, industriels, partenaires, chercheurs, scientifiques et acteurs de toute la chaîne, issus de tous les continents.
Après avoir coupé le ruban symbolique, le chef du gouvernement ivoirien, accompagné notamment des ministres Daniel Kablan Duncan (Affaires étrangères), Coulibaly Mamadou Sangafowa (Agriculture), Dagobert Banzio (Commerce) et du directeur exécutif de l’Organisation internationale du cacao (ICCO), Jean-Marc Anga, a visité les stands.
L’on dénombre au nombre de ces stands, ceux du ministère de l’Agriculture, du Firca, de Nestlé, du CNRA, de la Chambre de Commerce, de Barry Callebault, de Gargill, de Cémoi, d’Olam, de Filtisac, de Mars, de Mondalez International, du Bureau Veritas, etc.
Au stand Cémoi Côte d’Ivoire, le directeur des Ressources humaines, Souleymane Soro a présenté à l’AIP des produits tels Tarticao et Quickcao (pâte à tartiner, poudre de cacao) qui seront mis en vente en Côte d’Ivoire en fin d’année. Il s’agit, a assuré M. Soro, de produits locaux à base de « cacao bio », ajoutant que les producteurs respectant le processus normal de fermentation reçoivent de Cémoi, une prime qualité.
Dans un autre stand, Nestlé, les visiteurs reçoivent de la part des animateurs, en l’occurrence Kané Omaro, Bissouma D. Peggy et Muriel Kassi, des informations et des prospectus qui expliquent l’engagement de la multinationale en faveur de la création de valeur partagée (CVP).
L’on apprend ainsi que pour l’année en cours, Nestlé s’emploie à former 21.000 producteurs à des pratiques agricoles plus efficaces; fournira un million de cacaoyers plus productifs aux cultivateurs; va bâtir 40 écoles en Côte d’Ivoire au cours des quatre prochaines années… Tout ceci, dans le cadre de la CVP qui vise à améliorer les conditions de vie des producteurs de cacao et la qualité de leurs produits, à travers la nutrition, l’eau et le développement rural.
A l’espace de Cargill, en attendant « qu’une voix plus autorisée » s’exprime, dit-on, Yves Onghen insiste sur la certification et la qualité du cacao, cheval de bataille de la multinationale.
La conférence mondiale qui prend fin vendredi, sera l’occasion pour les acteurs mondiaux d’examiner les défis stratégiques auxquelles l'économie cacaoyère est confrontée afin de décider des actions à mettre en œuvre dans la décennie à venir. Elle devrait déboucher sur l'adoption d'un agenda global pour une économie cacaoyère durable, l'adoption d'un plan d'action stratégique au niveau mondial avec des mesures spécifiques au niveau régional et national et la création d'un fonds pour le financement du Plan cacao.
(AIP)
cmas
A cette conférence portant sur le thème « Ensemble, pour une économie cacaoyère mondiale durable », un millier de participants sont attendus, notamment des paysans et Etats producteurs, industriels, partenaires, chercheurs, scientifiques et acteurs de toute la chaîne, issus de tous les continents.
Après avoir coupé le ruban symbolique, le chef du gouvernement ivoirien, accompagné notamment des ministres Daniel Kablan Duncan (Affaires étrangères), Coulibaly Mamadou Sangafowa (Agriculture), Dagobert Banzio (Commerce) et du directeur exécutif de l’Organisation internationale du cacao (ICCO), Jean-Marc Anga, a visité les stands.
L’on dénombre au nombre de ces stands, ceux du ministère de l’Agriculture, du Firca, de Nestlé, du CNRA, de la Chambre de Commerce, de Barry Callebault, de Gargill, de Cémoi, d’Olam, de Filtisac, de Mars, de Mondalez International, du Bureau Veritas, etc.
Au stand Cémoi Côte d’Ivoire, le directeur des Ressources humaines, Souleymane Soro a présenté à l’AIP des produits tels Tarticao et Quickcao (pâte à tartiner, poudre de cacao) qui seront mis en vente en Côte d’Ivoire en fin d’année. Il s’agit, a assuré M. Soro, de produits locaux à base de « cacao bio », ajoutant que les producteurs respectant le processus normal de fermentation reçoivent de Cémoi, une prime qualité.
Dans un autre stand, Nestlé, les visiteurs reçoivent de la part des animateurs, en l’occurrence Kané Omaro, Bissouma D. Peggy et Muriel Kassi, des informations et des prospectus qui expliquent l’engagement de la multinationale en faveur de la création de valeur partagée (CVP).
L’on apprend ainsi que pour l’année en cours, Nestlé s’emploie à former 21.000 producteurs à des pratiques agricoles plus efficaces; fournira un million de cacaoyers plus productifs aux cultivateurs; va bâtir 40 écoles en Côte d’Ivoire au cours des quatre prochaines années… Tout ceci, dans le cadre de la CVP qui vise à améliorer les conditions de vie des producteurs de cacao et la qualité de leurs produits, à travers la nutrition, l’eau et le développement rural.
A l’espace de Cargill, en attendant « qu’une voix plus autorisée » s’exprime, dit-on, Yves Onghen insiste sur la certification et la qualité du cacao, cheval de bataille de la multinationale.
La conférence mondiale qui prend fin vendredi, sera l’occasion pour les acteurs mondiaux d’examiner les défis stratégiques auxquelles l'économie cacaoyère est confrontée afin de décider des actions à mettre en œuvre dans la décennie à venir. Elle devrait déboucher sur l'adoption d'un agenda global pour une économie cacaoyère durable, l'adoption d'un plan d'action stratégique au niveau mondial avec des mesures spécifiques au niveau régional et national et la création d'un fonds pour le financement du Plan cacao.
(AIP)
cmas