Divo - L’Agence ivoirienne de marketing social (AIMAS) a mené du 20 au 25 novembre diverses activités de sensibilisation sur le VIH/Sida à Divo, a constaté l’AIP.
Un cross populaire, une parade à travers les différentes artères de la ville, des animations publiques, des projections de film et « l’opération taxi » qui consistait à marquer les taxis-ville des autocollants d’une marque de préservatif, ont marqué cette campagne de sensibilisation dont l’objectif était d’amener les populations à adopter un comportement sain pour éviter le Sida ainsi que les infections sexuellement transmissibles (IST).
« Notre but, c’est d’arriver à convaincre les jeunes à utiliser de façon systématique le préservatif à défaut de pouvoir s’abstenir », a expliqué le responsable de la cellule VIH de l’AIMAS, Sibouo Groh Philippe, pour justifier l’organisation, depuis le 10 octobre, de cette campagne de sensibilisation à travers les villes de Daloa, San Pedro, Yamoussoukro, Divo et Abengourou.
« Il ne faut pas que le VIH se rajeunisse dans nos cités », a-t-il ajouté, révélant que le taux de prévalence national a chuté grâce aux différentes actions de sensibilisation passant de 4,7% en 2005 à 3,4% en 2012.
rkk/cmas
Un cross populaire, une parade à travers les différentes artères de la ville, des animations publiques, des projections de film et « l’opération taxi » qui consistait à marquer les taxis-ville des autocollants d’une marque de préservatif, ont marqué cette campagne de sensibilisation dont l’objectif était d’amener les populations à adopter un comportement sain pour éviter le Sida ainsi que les infections sexuellement transmissibles (IST).
« Notre but, c’est d’arriver à convaincre les jeunes à utiliser de façon systématique le préservatif à défaut de pouvoir s’abstenir », a expliqué le responsable de la cellule VIH de l’AIMAS, Sibouo Groh Philippe, pour justifier l’organisation, depuis le 10 octobre, de cette campagne de sensibilisation à travers les villes de Daloa, San Pedro, Yamoussoukro, Divo et Abengourou.
« Il ne faut pas que le VIH se rajeunisse dans nos cités », a-t-il ajouté, révélant que le taux de prévalence national a chuté grâce aux différentes actions de sensibilisation passant de 4,7% en 2005 à 3,4% en 2012.
rkk/cmas