Abidjan – La Bourse régionale des valeurs mobilières (BRVM) et le Dépositaire central/ Banque de règlement (DC/BR) sont déterminés à jouer pleinement leur rôle dans le financement de nos économies, a indiqué vendredi à Abidjan, le directeur général desdites institutions, Edoh Kossi Amenounve.
Lors d’une conférence de presse destinée à présenter les orientations et actions stratégiques de la BRVM pour le développement, M. Amenounve a fait observer, après avoir présenté l’évolution du marché régional de la Bourse, que cette institution « a vraiment progressé, affiche de bonnes performances et a de bonnes perspectives ».
Au titre du marché primaire, plus de 240 opérations sont autorisées depuis 1998 et de cette année-là au 31 octobre 2012, au total 2 730,28 milliards FCFA ont été levés. De 2007 au 31 octobre 2012, quelque 1 712,15 milliards FCFA ont été levés sur le marché primaire.
Les indices BRVM 10 et BRVM Composite affichaient 103,85 points et 104,88 point au démarrage des activités de la BRVM contre respectivement 161,76 points et 148,36 points au 31 octobre 2012, soient des progressions respectives de 55% et 41%.
Au titre du marché secondaire, suite à la baisse des indices BRVM 10 (-36%) et BRVM Composite (-33%) due à l’effondrement, en 2007, du marché américain des prêts hypothécaires à risque (subprimes), et de 2010 à 2011, la baisse des indices BRVM 10 (-13%) et BRVM Composite (-12%) due à la crise ivoirienne, l’on constate, depuis la reprise, une certaine embellie.
Au dire du DG de la BRVM, la capitalisation boursière du marché des actions est passée de 1 108 milliards FCFA en 1998 à 3 553 milliards au 31 octobre 2012, soit une progression de plus de 220% depuis le démarrage des activités de la Bourse.
Quant à la capitalisation boursière du marché des obligations, elle est passée de 83 milliards FCFA en 1999 à 852 milliards FCFA au 31 octobre 2012, soit une progression de plus de 900%. A cette dernière date, la capitalisation boursière totale de la BRVM affiche 4 405 milliards FCFA ; la valeur des transactions à 123,49 milliards (+ 1000%), et la Bourse a permis d’échanger 171,57 millions de titres, pour un montant de 745,78 milliards FCFA.
En termes de positionnement, la BRVM occupe la 7ème place des bourses africaines et compte se hisser au top 5 à l’horizon 2020, a assuré M. Amenounve. Pour ce faire, l’institution a arrêté un certain nombre d’orientations et d’actions stratégiques.
Elles consistent à faciliter l’accès de la BRVM aux entreprises, assurer une promotion régionale et internationale à la BRVM et au DC/BR, innover en permanence par l’amélioration des règles d’admission, de cotation et de négociation de la BRVM, offrir des produits et services qui répondent aux attentes des utilisateurs, accélérer la diffusion de la culture boursière auprès des populations de l’UMOA.
Toutes ces orientations se fondent sur des actions stratégiques basées sur davantage de promotion, de développement et de communication. Car, a souligné le directeur central de la BRVM et du DC/BR, Edoh Kossi Amenounve, nommé à ce poste le 1er octobre 2012, la BRVM représente, au dire des observateurs, le modèle achevé des bourses dans le monde. « On ne peut pas être le modèle le plus achevé des bourses et être le moins performant… », dit-il, pour décliner ses ambitions.
(AIP)
cmas
Lors d’une conférence de presse destinée à présenter les orientations et actions stratégiques de la BRVM pour le développement, M. Amenounve a fait observer, après avoir présenté l’évolution du marché régional de la Bourse, que cette institution « a vraiment progressé, affiche de bonnes performances et a de bonnes perspectives ».
Au titre du marché primaire, plus de 240 opérations sont autorisées depuis 1998 et de cette année-là au 31 octobre 2012, au total 2 730,28 milliards FCFA ont été levés. De 2007 au 31 octobre 2012, quelque 1 712,15 milliards FCFA ont été levés sur le marché primaire.
Les indices BRVM 10 et BRVM Composite affichaient 103,85 points et 104,88 point au démarrage des activités de la BRVM contre respectivement 161,76 points et 148,36 points au 31 octobre 2012, soient des progressions respectives de 55% et 41%.
Au titre du marché secondaire, suite à la baisse des indices BRVM 10 (-36%) et BRVM Composite (-33%) due à l’effondrement, en 2007, du marché américain des prêts hypothécaires à risque (subprimes), et de 2010 à 2011, la baisse des indices BRVM 10 (-13%) et BRVM Composite (-12%) due à la crise ivoirienne, l’on constate, depuis la reprise, une certaine embellie.
Au dire du DG de la BRVM, la capitalisation boursière du marché des actions est passée de 1 108 milliards FCFA en 1998 à 3 553 milliards au 31 octobre 2012, soit une progression de plus de 220% depuis le démarrage des activités de la Bourse.
Quant à la capitalisation boursière du marché des obligations, elle est passée de 83 milliards FCFA en 1999 à 852 milliards FCFA au 31 octobre 2012, soit une progression de plus de 900%. A cette dernière date, la capitalisation boursière totale de la BRVM affiche 4 405 milliards FCFA ; la valeur des transactions à 123,49 milliards (+ 1000%), et la Bourse a permis d’échanger 171,57 millions de titres, pour un montant de 745,78 milliards FCFA.
En termes de positionnement, la BRVM occupe la 7ème place des bourses africaines et compte se hisser au top 5 à l’horizon 2020, a assuré M. Amenounve. Pour ce faire, l’institution a arrêté un certain nombre d’orientations et d’actions stratégiques.
Elles consistent à faciliter l’accès de la BRVM aux entreprises, assurer une promotion régionale et internationale à la BRVM et au DC/BR, innover en permanence par l’amélioration des règles d’admission, de cotation et de négociation de la BRVM, offrir des produits et services qui répondent aux attentes des utilisateurs, accélérer la diffusion de la culture boursière auprès des populations de l’UMOA.
Toutes ces orientations se fondent sur des actions stratégiques basées sur davantage de promotion, de développement et de communication. Car, a souligné le directeur central de la BRVM et du DC/BR, Edoh Kossi Amenounve, nommé à ce poste le 1er octobre 2012, la BRVM représente, au dire des observateurs, le modèle achevé des bourses dans le monde. « On ne peut pas être le modèle le plus achevé des bourses et être le moins performant… », dit-il, pour décliner ses ambitions.
(AIP)
cmas