Abidjan, 01 déc (AIP) - Le gouvernement ivoirien, à l’occasion de la 25ème édition de la journée mondiale de lutte contre le SIDA, célébrée, samedi, à la mairie d’Abobo, s’est fixé pour objectif "zéro décès liés au VIH/SIDA en Côte".
Selon la ministre de la santé et de la lutte contre le Sida, Raymonde Goudou Coffie, le gouvernement entend s’attaquer aux causes des décès liés au VIH/SIDA dont les plus fréquents sont les maladies opportunistes, notamment la tuberculose, la toxoplasmose et la cryptococcose, pour atteindre l’objectif fixé.
Avec 3.4% de prévalence, avec 23 000 personnes vivant avec le VIH (PIVVIH) morts en 2011 selon les estimations d’ONUSIDA, la Côte d’ivoire, fait encore partie des pays les plus touchés de la sous-région, malgré les moyens engagés par l’Etat et ses différents partenaires dans la lutte contre cette pandémie.
En effet la Côte d’Ivoire a débuté la prise en charge (PEC) par ARV en 1998 grâce à l’initiative de l’ONUSIDA, et procédé à un renforcement de service de prise en charge global, par l’amélioration de l’accès au traitement ARV caractérisée par une augmentation progressive du nombre de PVVIH bénéficiaires de traitement ARV.
De huit centres d’accréditation pour la PEC en 2003, avec 2230 PVVIH sous ARV, la Côte d’Ivoire est passée en 2011 à 477 services de santé qui suivent 93 065 PVVIH sous traitement. Une situation qui exaspère le gouvernement ivoirien, qui entend tout mettre en œuvre, pour booter le VIH/SIDA hors de la Côte d’ivoire.
Par ailleurs cette 25ème édition de la journée mondiale de lutte contre le VIH/SIDA a été marquée par le dépistage gratuit des populations de la commune d’Abobo, le don de cinq millions de MTN au ministère de la lutte contre le Sida pour l’aider à mener à bien sa mission, et le don du ministère de la santé et de lutte contre le sida, 1500 kits alimentaires estimée à plus de 38 millions de francs CFA.
Selon la ministre de la santé et de la lutte contre le Sida, Raymonde Goudou Coffie, le gouvernement entend s’attaquer aux causes des décès liés au VIH/SIDA dont les plus fréquents sont les maladies opportunistes, notamment la tuberculose, la toxoplasmose et la cryptococcose, pour atteindre l’objectif fixé.
Avec 3.4% de prévalence, avec 23 000 personnes vivant avec le VIH (PIVVIH) morts en 2011 selon les estimations d’ONUSIDA, la Côte d’ivoire, fait encore partie des pays les plus touchés de la sous-région, malgré les moyens engagés par l’Etat et ses différents partenaires dans la lutte contre cette pandémie.
En effet la Côte d’Ivoire a débuté la prise en charge (PEC) par ARV en 1998 grâce à l’initiative de l’ONUSIDA, et procédé à un renforcement de service de prise en charge global, par l’amélioration de l’accès au traitement ARV caractérisée par une augmentation progressive du nombre de PVVIH bénéficiaires de traitement ARV.
De huit centres d’accréditation pour la PEC en 2003, avec 2230 PVVIH sous ARV, la Côte d’Ivoire est passée en 2011 à 477 services de santé qui suivent 93 065 PVVIH sous traitement. Une situation qui exaspère le gouvernement ivoirien, qui entend tout mettre en œuvre, pour booter le VIH/SIDA hors de la Côte d’ivoire.
Par ailleurs cette 25ème édition de la journée mondiale de lutte contre le VIH/SIDA a été marquée par le dépistage gratuit des populations de la commune d’Abobo, le don de cinq millions de MTN au ministère de la lutte contre le Sida pour l’aider à mener à bien sa mission, et le don du ministère de la santé et de lutte contre le sida, 1500 kits alimentaires estimée à plus de 38 millions de francs CFA.