Abidjan – Une dizaine de journalistes ont bénéficié samedi au Cerap à Cocody, d’une formation sur l’application des réglementations forestières gouvernementales et échanges commerciaux (FLEGT) en vue de la mise en place d’une plateforme d’informations et de veille dans le cadre de l’accord de partenariat volontaire (APV).
L’Union Européenne a lancé en 2003 l’initiative FLEGT pour améliorer la gouvernance et diminuer l’exploitation illégale en renforçant la gestion durable forestière et en promouvant le commerce de bois produit légalement.
La Côte d’Ivoire s‘est engagé depuis 2011 dans le processus de l’initiative FLEGT, avec une faible implication de la société civile qui devrait définir les termes des APV en accord avec le gouvernement et le privé.
Le FLEGT prévoit que les législations nationales s’appuient sur l’adéquation économique, l’équité sociale et la compatibilité écologique pour la gestion durable de la forêt, en un mot le pays signataire doit signifier dans les APV, les retombées de l’exploitation forestière sur la population à court, moyen et long terme.
De ce fait la société civile doit participer aux différentes consultations afin que les préoccupations des populations soient prises en compte à commencer par une amélioration du cadre juridique du code forestier qui date de 1965.
Cette organisation de la société civile incombe au groupe national pour la gestion durable et la certification forestière de Côte d’Ivoire (GNT), qui a procédé à l’organisation de quatre ateliers de formation et de sensibilisation l’étendue du territoire.
Le GNT effectuera la synthèse des ateliers le 05 décembre pour évaluer les avancées du processus au niveau de la société civile.
L’Union Européenne a lancé en 2003 l’initiative FLEGT pour améliorer la gouvernance et diminuer l’exploitation illégale en renforçant la gestion durable forestière et en promouvant le commerce de bois produit légalement.
La Côte d’Ivoire s‘est engagé depuis 2011 dans le processus de l’initiative FLEGT, avec une faible implication de la société civile qui devrait définir les termes des APV en accord avec le gouvernement et le privé.
Le FLEGT prévoit que les législations nationales s’appuient sur l’adéquation économique, l’équité sociale et la compatibilité écologique pour la gestion durable de la forêt, en un mot le pays signataire doit signifier dans les APV, les retombées de l’exploitation forestière sur la population à court, moyen et long terme.
De ce fait la société civile doit participer aux différentes consultations afin que les préoccupations des populations soient prises en compte à commencer par une amélioration du cadre juridique du code forestier qui date de 1965.
Cette organisation de la société civile incombe au groupe national pour la gestion durable et la certification forestière de Côte d’Ivoire (GNT), qui a procédé à l’organisation de quatre ateliers de formation et de sensibilisation l’étendue du territoire.
Le GNT effectuera la synthèse des ateliers le 05 décembre pour évaluer les avancées du processus au niveau de la société civile.
