Korhogo -De nouvelles variétés de plants d’anacarde mis au point par le Centre national de recherche agronomique (CNRA), dans le cadre du projet "Amélioration variétale de l’anacardier", ont été présentées aux producteurs de la filière, à Korhogo, au cours d’un atelier organisé jeudi et vendredi par le Fonds interprofessionnel pour la recherche et le conseil agricole (FIRCA).
Cet atelier de restitution des résultats obtenus par le CNRA, au terme de la première phase de ce projet, visait à partager avec les acteurs de la filière les acquis, de dégager les perspectives et de prendre en compte les préoccupations des parties prenantes.
"Je voudrais adresser mes sincères remerciements au CNRA pour le travail accompli dans le cadre de l’exécution de ce projet", a déclaré le directeur exécutif du FIRCA, Dr Angniman Ackah Pierre, qui a également remercié tous les participants à l’atelier et les partenaires de la filière anacarde.
Le CNEA, au terme de trois ans de recherches sur l’anacarde, a obtenu des arbres performants, à haut rendement et tolérants aux maladies et ravageurs.
Dès 2013, il sera possible de produire en masse des plants greffiers et d’établir des plantations aux productions précoces et aux rendements d’au moins une tonne de noix par hectare.
La production ivoirienne de noix de cajou connaît une croissance importante depuis 15 ans. De 2004 à 2011, la production est passée de 140.000 T à 400.000 T, faisant de la Côte d’Ivoire le premier producteur africain et le deuxième mondial.
Cette évolution de la production est due exclusivement à un accroissement des surfaces plantées avec un matériel végétal peu performant donnant un rendement de 300 à 400 kg de noix de cajou à l’hectare.
Pour garantir le développement durable de la culture de l’anacarde, tout en préservant les surfaces cultivables, le FIRCA a initié, à la demande de la filière anacarde, un projet d’amélioration variétale de l’anacardier pour intensifier la culture et accroître la productivité.
"Je voudrais saluer l’initiative prise par le FIRCA d’avoir initié ce projet à la demande de la filière anacarde", a indiqué le conseiller technique du ministre de l’Agriculture, N’Golo Diarassouba, représentant le ministre Sangafowa Coulibaly.
"Quant au CNRA, je me félicite de l’important travail abattu dans la cadre ce projet", a-t-il ajouté, exhortant les experts du centre à multiplier leurs efforts et à capitaliser les acquis de l’expérience des autres pays.
Le directeur général du Centre national de recherche agronomique(CNRA), M. Iké Wongué, a promis la poursuite du partenariat.
"Je voudrais vous assurer que le CNRA travaillera avec expertise, comme avec le coton, pour créer les technologies sur lesquelles se développera durablement la culture de l’anacardier en Côte d’Ivoire", a affirmé M. Wongué.
Le deuxième jour de l’atelier a été consacré à une visite guidée de la station de recherche de Lataha (sous-préfecture de Korhogo) et du site expérimental de Ferkessédougou du CNRA.
Cet atelier de restitution des résultats obtenus par le CNRA, au terme de la première phase de ce projet, visait à partager avec les acteurs de la filière les acquis, de dégager les perspectives et de prendre en compte les préoccupations des parties prenantes.
"Je voudrais adresser mes sincères remerciements au CNRA pour le travail accompli dans le cadre de l’exécution de ce projet", a déclaré le directeur exécutif du FIRCA, Dr Angniman Ackah Pierre, qui a également remercié tous les participants à l’atelier et les partenaires de la filière anacarde.
Le CNEA, au terme de trois ans de recherches sur l’anacarde, a obtenu des arbres performants, à haut rendement et tolérants aux maladies et ravageurs.
Dès 2013, il sera possible de produire en masse des plants greffiers et d’établir des plantations aux productions précoces et aux rendements d’au moins une tonne de noix par hectare.
La production ivoirienne de noix de cajou connaît une croissance importante depuis 15 ans. De 2004 à 2011, la production est passée de 140.000 T à 400.000 T, faisant de la Côte d’Ivoire le premier producteur africain et le deuxième mondial.
Cette évolution de la production est due exclusivement à un accroissement des surfaces plantées avec un matériel végétal peu performant donnant un rendement de 300 à 400 kg de noix de cajou à l’hectare.
Pour garantir le développement durable de la culture de l’anacarde, tout en préservant les surfaces cultivables, le FIRCA a initié, à la demande de la filière anacarde, un projet d’amélioration variétale de l’anacardier pour intensifier la culture et accroître la productivité.
"Je voudrais saluer l’initiative prise par le FIRCA d’avoir initié ce projet à la demande de la filière anacarde", a indiqué le conseiller technique du ministre de l’Agriculture, N’Golo Diarassouba, représentant le ministre Sangafowa Coulibaly.
"Quant au CNRA, je me félicite de l’important travail abattu dans la cadre ce projet", a-t-il ajouté, exhortant les experts du centre à multiplier leurs efforts et à capitaliser les acquis de l’expérience des autres pays.
Le directeur général du Centre national de recherche agronomique(CNRA), M. Iké Wongué, a promis la poursuite du partenariat.
"Je voudrais vous assurer que le CNRA travaillera avec expertise, comme avec le coton, pour créer les technologies sur lesquelles se développera durablement la culture de l’anacardier en Côte d’Ivoire", a affirmé M. Wongué.
Le deuxième jour de l’atelier a été consacré à une visite guidée de la station de recherche de Lataha (sous-préfecture de Korhogo) et du site expérimental de Ferkessédougou du CNRA.