Abengourou - La représentante du directeur régional de la Santé à Abengourou, Mme Assamoi Laurentine a exhorté samedi, lors de la Journée mondiale de la lutte contre le Sida, les populations d’Abengourou à s’intéresser à la lutte contre la pandémie du siècle.
Le taux de prévalence à Abengourou qui est de 5.4%, fait de cette région l’une des plus touchées en Côte d’Ivoire.
Intervenant lors de la commémoration de cette Journée mondiale portant sur le thème « Objectif zéro décès lié au VIH/Sida en Côte d’Ivoire », Mme Assamoi a souligné que bien que beaucoup d’actions ont été menées pour lutter contre la pandémie avec l’aide de différents partenaires de la lutte dans la région, beaucoup reste à faire avec le taux de prévalence qui est passé à 5.4.
Ces défis majeurs à relever consistent notamment à connaître sa sérologie; éviter la stigmatisation et la discrimination; accepter sa condition de personne vivant avec le VIH/Sida; permettre l’accès universel au traitement antiretroviral pour les personnes vivant avec le VIH et admissibles au traitement.
Il s’agit également de « réduire de moitié, les décès liés à la tuberculose chez les personnes vivant avec le VIH, prendre en compte les personnes vivant avec le VIH et les ménages affectés par le virus dans toutes les stratégies nationales de protection sociale, de fourniture et d’accès au soin essentiel pour que la population se sente concernée par la lutte, pour aboutir à zéro décès dans la région », a-t-elle souligné.
Mme Assamoi a en outre précisé que la co-infection tuberculose -VIH/Sida pose un problème de santé publique car elle est la plus importante des infections opportunistes associées au Sida en Côte d’Ivoire. Dee 2007 à 2010, la prévalence du VIH/Sida parmi les tuberculeux est passée de 39% à 24%.
Cependant, bien que des efforts ont été consentis beaucoup reste à faire car selon Mme Assamoi, le tiers des malades tuberculeux n’est pas testé pour le VIH/Sida, la recherche systématique et le dépistage de la tuberculose chez les personnes vivant avec le VIH n’est pas effectif dans tous les centres de prise en charge du Sida.
La représentante du préfet de la région de l’Indénié Djuablin, Mme Ouattara a pour sa part exhorté les uns et les autres à adopter des comportements responsables, notamment l’abstinence sexuel, la fidélité pour les adultes et le port du préservatif pour ceux qui ont différents partenaires ou pour ceux qui sont infectés.
Selon l’ONUSIDA, la crise que la Côte d’Ivoire a traversée a eu des répercussions sur la Côte d’Ivoire dans le domaine du Sida car l’on a dénombré 36.000 cas de décès dû au Sida et une estimation de 440.000 orphelins et enfants rendus vulnérables du fait du sida (OEV) en 2010.
apk/cmas
Le taux de prévalence à Abengourou qui est de 5.4%, fait de cette région l’une des plus touchées en Côte d’Ivoire.
Intervenant lors de la commémoration de cette Journée mondiale portant sur le thème « Objectif zéro décès lié au VIH/Sida en Côte d’Ivoire », Mme Assamoi a souligné que bien que beaucoup d’actions ont été menées pour lutter contre la pandémie avec l’aide de différents partenaires de la lutte dans la région, beaucoup reste à faire avec le taux de prévalence qui est passé à 5.4.
Ces défis majeurs à relever consistent notamment à connaître sa sérologie; éviter la stigmatisation et la discrimination; accepter sa condition de personne vivant avec le VIH/Sida; permettre l’accès universel au traitement antiretroviral pour les personnes vivant avec le VIH et admissibles au traitement.
Il s’agit également de « réduire de moitié, les décès liés à la tuberculose chez les personnes vivant avec le VIH, prendre en compte les personnes vivant avec le VIH et les ménages affectés par le virus dans toutes les stratégies nationales de protection sociale, de fourniture et d’accès au soin essentiel pour que la population se sente concernée par la lutte, pour aboutir à zéro décès dans la région », a-t-elle souligné.
Mme Assamoi a en outre précisé que la co-infection tuberculose -VIH/Sida pose un problème de santé publique car elle est la plus importante des infections opportunistes associées au Sida en Côte d’Ivoire. Dee 2007 à 2010, la prévalence du VIH/Sida parmi les tuberculeux est passée de 39% à 24%.
Cependant, bien que des efforts ont été consentis beaucoup reste à faire car selon Mme Assamoi, le tiers des malades tuberculeux n’est pas testé pour le VIH/Sida, la recherche systématique et le dépistage de la tuberculose chez les personnes vivant avec le VIH n’est pas effectif dans tous les centres de prise en charge du Sida.
La représentante du préfet de la région de l’Indénié Djuablin, Mme Ouattara a pour sa part exhorté les uns et les autres à adopter des comportements responsables, notamment l’abstinence sexuel, la fidélité pour les adultes et le port du préservatif pour ceux qui ont différents partenaires ou pour ceux qui sont infectés.
Selon l’ONUSIDA, la crise que la Côte d’Ivoire a traversée a eu des répercussions sur la Côte d’Ivoire dans le domaine du Sida car l’on a dénombré 36.000 cas de décès dû au Sida et une estimation de 440.000 orphelins et enfants rendus vulnérables du fait du sida (OEV) en 2010.
apk/cmas