Abidjan (Côte d’Ivoire) - L’Association interprofessionnelle de la filière palmier à huile (AIPH) a dénoncé, lors d’une conférence à Abidjan, une campagne de ‘’dénigrement’’ contre sa filière par certaines associations qui soutiendraient que ‘’l’huile de palme serait nocive à l’organisme humain et dangereux pour la consommation’’.
Selon les responsables de l'AIPH, des études scientifiques sérieuses ont démontré que sur le plan sanitaire, l'huile de palme est bonne pour la santé notamment pour certains cancers.
Pour l'avocat de l'AIPH Me Chevau, la campagne de désinformation entamée contre l'huile de palme est de faire baisser de façon drastique sa production.
Cela impliquerait, selon lui, une ‘'incidence sur le prix de ce produit et impacterait négativement le niveau de vie de populations''.
''Aucune étude scientifique n'a jusque-là établit le contraire'', ont tranché les responsables de l'AIPH.
L'huile de palme selon les professionnels de la filière contient 40% d'acides gras saturés alors que le beurre de cacao en contient 60% et l'huile d'olive 15%.
Des acides gras réputés selon eux pour être la cause de maladies cardiovasculaires. ‘' L'huile de palme constitue une exception. Les acides gras saturés contenus dans l'huile de palme ne sont en effet pas métabolisés au cours de la digestion. C'est également le cas du beurre de cacao'', selon les responsables de l'AIPH.
D'un point de vue environnemental, l'AIPH a expliqué que la culture de l'huile de palme ne favorise point de la déforestation. En Cote d'Ivoire, selon ces experts, l'huile de palme est cultivée sur des terres en jachère et est moins polluante et ne nécessite pas beaucoup d'intrants comme les pesticides.
L'huile de palme est après celle de soja, la première production mondiale et la deuxième huile la plus consommée au monde, du fait de l'accessibilité de son coût.
En Côte d'Ivoire, on estime à deux millions soit 10% de la population ivoirienne, le nombre de personnes tirant l'essentiel de leurs revenus du palmier à huile.
La production, la transformation et le transport des produits du palmier à huile génèrent directement ou indirectement 200 mille emplois réguliers.
Selon les responsables de l'AIPH, des études scientifiques sérieuses ont démontré que sur le plan sanitaire, l'huile de palme est bonne pour la santé notamment pour certains cancers.
Pour l'avocat de l'AIPH Me Chevau, la campagne de désinformation entamée contre l'huile de palme est de faire baisser de façon drastique sa production.
Cela impliquerait, selon lui, une ‘'incidence sur le prix de ce produit et impacterait négativement le niveau de vie de populations''.
''Aucune étude scientifique n'a jusque-là établit le contraire'', ont tranché les responsables de l'AIPH.
L'huile de palme selon les professionnels de la filière contient 40% d'acides gras saturés alors que le beurre de cacao en contient 60% et l'huile d'olive 15%.
Des acides gras réputés selon eux pour être la cause de maladies cardiovasculaires. ‘' L'huile de palme constitue une exception. Les acides gras saturés contenus dans l'huile de palme ne sont en effet pas métabolisés au cours de la digestion. C'est également le cas du beurre de cacao'', selon les responsables de l'AIPH.
D'un point de vue environnemental, l'AIPH a expliqué que la culture de l'huile de palme ne favorise point de la déforestation. En Cote d'Ivoire, selon ces experts, l'huile de palme est cultivée sur des terres en jachère et est moins polluante et ne nécessite pas beaucoup d'intrants comme les pesticides.
L'huile de palme est après celle de soja, la première production mondiale et la deuxième huile la plus consommée au monde, du fait de l'accessibilité de son coût.
En Côte d'Ivoire, on estime à deux millions soit 10% de la population ivoirienne, le nombre de personnes tirant l'essentiel de leurs revenus du palmier à huile.
La production, la transformation et le transport des produits du palmier à huile génèrent directement ou indirectement 200 mille emplois réguliers.
