Daloa - Les acteurs en région des Marchés publics du Haut-Sassandra ont été instruits mardi, sur les mécanismes de régulation de ladite structure, afin de mieux appréhender leurs rôles et responsabilités dans la chaîne du système des marchés publics.
Faire connaître les missions de l'Autorité nationale de régulation des marchés publics (ANRMP), basée à Abidjan et sensibiliser tous les acteurs du système sur le fait qu'il existe désormais un organe capable de surveiller le système et les actes que pose chaque acteur, est l'objectif essentiel du séminaire d'une journée organisé par l'ANRMP et la Direction régionale des marchés publics du Haut-Sassandra.
Pour ce faire, les participants ont été soumis aux thèmes tels ''Les opérations sur les marchés publics et le rôle des acteurs'', ''La régulation des marchés publics et les responsabilités des acteurs''. Ce second thème a d'ailleurs été développé par le président de l'ANRMP, Coulibaly Non Karna qui a coanimé la rencontre avec le directeur régional des Marchés publics du Haut-Sassandra, Kessé Gerard.
Les marchés publics sont un contrat écrit passé par l'Etat avec des privés en vue de satisfaire ses besoins en matière de travaux, de fournitures et de prestations diverses. Selon les spécialistes, l'on ne parle de marchés publics qu'à partir des dépenses supérieures ou égales à 30 millions de francs CFA.
Actuellement, il est fait obligation aux structures assujetties au code des marchés publics de passer un appel d'offres. En deçà de ce montant, ce sont des contrats que l'Etat peut signer mais qui ne sont pas des contrats au sens des marchés publics.
Au sortir de cette formation, le directeur régional des marchés du Haut-Sassandra, Kessé Gérard a souhaité que les structures assujetties aux marchés publics, à savoir les directions régionales, départementales et autres services étatiques, approchent ses services chaque fois qu'ils ont un crédit ou un budget, afin d’établir ensemble un plan de passation de leurs marchés. Et ce, pour une meilleure orientation sur la voie à suivre, afin d'éviter des désagréments au moment de l'exécution du marché ou du paiement.
Les différents acteurs concernés par la formation de Daloa étaient, entre autres, des responsables de l'administration publique ou les fonctionnaires, des directions régionales, départementales, des services décentralisés, des opérateurs économiques issus du secteur privé, notamment les entrepreneurs, des membres de la société civile, provenant des ONG ou des organisations ayant pour but de défendre les intérêts des populations.
Faire connaître les missions de l'Autorité nationale de régulation des marchés publics (ANRMP), basée à Abidjan et sensibiliser tous les acteurs du système sur le fait qu'il existe désormais un organe capable de surveiller le système et les actes que pose chaque acteur, est l'objectif essentiel du séminaire d'une journée organisé par l'ANRMP et la Direction régionale des marchés publics du Haut-Sassandra.
Pour ce faire, les participants ont été soumis aux thèmes tels ''Les opérations sur les marchés publics et le rôle des acteurs'', ''La régulation des marchés publics et les responsabilités des acteurs''. Ce second thème a d'ailleurs été développé par le président de l'ANRMP, Coulibaly Non Karna qui a coanimé la rencontre avec le directeur régional des Marchés publics du Haut-Sassandra, Kessé Gerard.
Les marchés publics sont un contrat écrit passé par l'Etat avec des privés en vue de satisfaire ses besoins en matière de travaux, de fournitures et de prestations diverses. Selon les spécialistes, l'on ne parle de marchés publics qu'à partir des dépenses supérieures ou égales à 30 millions de francs CFA.
Actuellement, il est fait obligation aux structures assujetties au code des marchés publics de passer un appel d'offres. En deçà de ce montant, ce sont des contrats que l'Etat peut signer mais qui ne sont pas des contrats au sens des marchés publics.
Au sortir de cette formation, le directeur régional des marchés du Haut-Sassandra, Kessé Gérard a souhaité que les structures assujetties aux marchés publics, à savoir les directions régionales, départementales et autres services étatiques, approchent ses services chaque fois qu'ils ont un crédit ou un budget, afin d’établir ensemble un plan de passation de leurs marchés. Et ce, pour une meilleure orientation sur la voie à suivre, afin d'éviter des désagréments au moment de l'exécution du marché ou du paiement.
Les différents acteurs concernés par la formation de Daloa étaient, entre autres, des responsables de l'administration publique ou les fonctionnaires, des directions régionales, départementales, des services décentralisés, des opérateurs économiques issus du secteur privé, notamment les entrepreneurs, des membres de la société civile, provenant des ONG ou des organisations ayant pour but de défendre les intérêts des populations.