Les adversaires de Rémy Basset qui avaient trouvé des FRCI pour occuper et sécuriser sans aucun mandat de justice ni aucune autorisation de la hiérarchie, des sites de travail, viennent encore d'être déboutés. Après enquête et investigations, les responsables des FRCI et de l'état-major ont fait sécuriser les lieux, par des éléments après une requête en bonne et due forme, adressée par la partie adverse à Samba Coulibaly, et qui est aux affaires depuis plusieurs semaines, à la suite des premières décisions de justice et de l'Assemblée générale tenue en présence des actionnaires de l'Etat. Les choses rentrent donc dans l'ordre pour la direction légale et légitime qui avait assisté sans réagir et surtout avec responsabilité à un lynchage médiatique sans nom. Les commanditaires, faute de ressources, et de résultats ont suspendu leurs agitations et ont entrepris sous prétexte de sécuriser les travailleurs, de faire main basse sur les productions et sur des ressources financières de Palmafrique. La encore échec total. La direction légitime s'attelle à faire l'état des lieux, afin de récupérer les biens et mettre de l'ordre dans les comptes en banques, tandis que depuis l'extérieur, de prétendus dirigeants sont rattrapés par le faux qui consiste à faire usage des documents avec en tête et cachet de l'entreprise. Approchés, les travailleurs assurent qu'ils n'ont pas à prendre position dans un conflit entre actionnaires et préfèrent ne pas jouer les perturbateurs. La majorité des travailleurs rassurés par la direction actuelle sur la présence des forces de l'ordre, est donc au travail. Les adversaires de l'actionnaire principal avaient estimé avoir perdu une bataille, mais pas la guerre. Toutefois, alors qu'ils doivent attendre une décision de justice en Février prochain, ils ont choisi de se signaler par des voies de fait et des manœuvres d'intimidation. Grâce à la vigilance des autorités judiciaires et sécuritaires, la sérénité est de retour, sous la houlette des dirigeants légaux et légitimes, qui par leur présence aux côtés du personnel, sont parvenus à les rassurer.
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